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Corps en Immersion

Une actualité dans les arts et les sciences à travers les corps pluriels.

Pierre Jodlowski : Soleil Blanc

Publié le 5 Novembre 2017 par Anaïs BERNARD dans exposit

Pierre Jodlowski : Soleil Blanc

2 novembre 2017 à 9 h 30 - 18 h 00
Jusqu’au 31 décembre・Entrée libre

Le Musée de la Grande Guerre de Meaux présente Soleil Blanc, une installation interactive, une expérience émotionnelle et réflexive. Dans un baraquement en bois, l’installation abrite une table d’opération militaire sur laquelle s’anime une carte d’état major de 1918 : en fonction du déplacement de petits objets en métal, l’environnement sonore et visuel se métamorphose, s’adaptant aux lieux et à leur histoire. Les sons de la nature et les bruits des bombes se mêlent à des sons instrumentaux, créant une atmosphère à la fois réaliste et onirique. Des images d’archive sont animées et recomposées par le plasticien David Coste. Retravaillés par l’artiste, les portraits des soldats, initialement destinés à la propagande, révèlent la violence d’un conflit sans précédent.


Concept, design sonore, programmation : Pierre Jodlowski
Réalisation vidéo : David Coste
Collaboration artistique et technique : François Donato
Réalisation du décor : Atelier La Fiancée du Pirate – Toulouse
Réalisation des objets : Pierre Grinbaum

Production : éOle, studio de création musicale
Coproduction : le Bel Ordinaire – espace d’art contemporain Pau Pyrénées ; l’Orchestre de Pau Pays de Béarn ; le Musée de la Grande Guerre de Meaux et Odyssud-Blagnac, scène conventionnée.

Avec le soutien de la Mission Centenaire 14-18 et du ministère de la Défense – Direction de la mémoire et des archives

éOle est, depuis 1998, accueilli en résidence à Odyssud-Blagnac, scène conventionnée pour les musiques anciennes et nouvelles. éOle est aidé par le ministère de la Culture et de la Communication / Préfet de la Région Occitanie au titre de l’aide aux Ensembles conventionnés, reçoit le soutien de la Région Occitanie, du Conseil départemental de la Haute-Garonne, de la Ville de Toulouse et de la Sacem.

 

 

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BIENNALE NÉMO

Publié le 4 Novembre 2017 par Anaïs BERNARD dans evenement, festivals

BIENNALE NÉMO

⇢ 6 MOIS D’ÉVÉNEMENTS : DU 4 OCTOBRE 2017 AU 25 MARS 2018
⇢ 130 ÉVÉNEMENTS : CONCERTS, EXPOSITIONS, SPECTACLES / PERFORMANCES, RENCONTRES / CONFÉRENCES…
⇢ PLUS DE 190 ARTISTES
⇢ 50 LIEUX PARTENAIRES DANS TOUTE L’ÎLE-DE-FRANCE

Cette édition de 6 mois est un florilège de hasards heureux, d’accidents créatifs et de sérendipité ! Elle est entièrement dédiée au décloisonnement artistique, à l’hybridation des disciplines, aux esthétiques et ingénieries émergentes, aux rapports entre arts et sciences et aux nouvelles questions sociétales qui adviennent en cette époque technologique et ultra-connectée.

Elle est un rhizome, un « très long instantané » de l’état de l’art et un grand coup de projecteur sur toute une dynamique régionale autour des « arts numériques » et de leurs multiples impacts sur la culture dans son ensemble.

………………

La Région Île-de-France, territoire numérique s’il en est, propose six mois de foisonnement créatif avec la deuxième édition de la Biennale Némo.
Comme sa thématique l’indique, nul doute qu’elle sera faite de hasards heureux, d’accidents créatifs et de sérendipité partout ! Ce mot mystérieux, qui indique qu’en cherchant quelque chose, on trouve parfois autre chose de plus intéressant, est bien le symbole de toute une dynamique régionale autour de la création artistique à l’âge du numérique.
Nous avons voulu cet événement plus dense, plus partenarial et mieux réparti sur tout le territoire de l’Île-de-France : avec plus de 130 événements (expositions, spectacles/performances, concerts, rencontres et conférences…), Némo réunit une soixantaine de lieux franciliens différents et complémentaires, comme les territoires sur lesquels ils s’inscrivent, de Paris aux petite et grande couronnes, dans une complicité qui fait qu’aujourd’hui, cet événement majeur de l’Île-de-France est devenu la plus importante manifestation française dédiée à la création numérique, dont le rayonnement dépasse nos frontières.
La Biennale Némo est une manifestation vouée aux arts et à la création. Elle est le lieu du décloisonnement artistique, de l’hybridation des disciplines, du soutien aux esthétiques
et aux ingénieries émergentes, de la mise en valeur des relations entre arts et sciences, et de l’attention permanente aux questions sociétales qui sont au coeur de notre temps, celui des datas et de l’ultra-connexion.
Grâce à la coordination artistique et logistique d’Arcadi Île-de-France, et au professionnalisme de ses équipes, sont associés des théâtres, des lieux de culture numérique, des lieux de musiques actuelles, des galeries d’art, privées ou publiques, des lieux de recherche, et de très nombreux lieux atypiques et pluridisciplinaires.
La force de Némo, c’est aussi sa dimension internationale, et les partenariats qu’elle a su tisser avec l’Europe et le monde entier, à travers par exemple la plateforme SHAPE de diffusion des arts numériques soutenue par Europe Créative, ou encore les Saisons Croisées de l’Institut Français.
Nous vous invitons donc à participer à cette immersion dans la création artistique à l’heure du numérique, immersion à destination de tous les Franciliens, et vous donnons rendez-vous le 4 octobre prochain pour sa grande soirée inauguration.

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HYPERFORM

Publié le 3 Novembre 2017 par Anaïs BERNARD dans evenement

HYPERFORM

Hyperform est une expérience audiovisuelle immersive explorant le rôle des dimensions spatiales dans la construction de notre réalité ainsi que pour la création de nouvelles réalités étrangères, alors que de nouveaux espaces et formes dimensionnelles se déploient autour de nous. Hyperform se situe à la frontière entre les mathématiques, les sciences et l’art audiovisuel.

Ce voyage immersif sera lancé par des géométries simples, tant à l’audio qu’au visuel et évoluera vers un monde d’abstractions basé sur des modèles mathématiques hyperdimensionnels, existant au-delà de nos capacités de perceptions normales.

31 octobre au 24 novembre 2017 - Mardi au samedi - 20h
Billet régulier : 19.75$ ( incluant frais web ) - Achetez en ligne ici (et à la SAT)
Durée : 35 minutes

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La Science de l’Art : La Culture du risqu

Publié le 2 Novembre 2017 par Anaïs BERNARD dans festivals

La Science de l’Art : La Culture du risqu

Notre association, le Collectif pour la culture en Essonne (CC91), est un réseau d’acteurs culturels (structures sociales, équipements culturels, collectivités territoriales, universités, centres d’enseignements artistiques et scientifiques…) qui oeuvrent ensemble pour favoriser
l’accès à la culture pour tous sur le territoire.
Du 4 novembre au 10 décembre 2017, nous vous proposons une quarantaine d’événements qui vous feront découvrir l’Art et la Science sous un jour nouveau.
En effet, cette 7ème édition de notre biennale La Science de l’Art sur le thème La « culture du risque » vous présentera 24 productions issues de regards croisés entre artistes et scientifiques venus de la France entière. Chacune de ces oeuvres sera accompagnée d’actions culturelles (ateliers, rencontres, débats, conférences...) afin de vous en offrir la meilleure compréhension et de vous faire rencontrer ses créateurs.
L’originalité du festival réside tant dans les rencontres et les créations transdisciplinaires qu’elle produit, que dans ses lieux de diffusion, venant à votre rencontre et s’inscrivant dans votre quotidien (écoles, universités, hôpitaux…) ainsi que dans de nombreuses structures culturelles
(médiathèques, MJC, musées, centres d’Art, cinémas…).


Du 4 novembre au 10 décembre 2017, vibrons ensemble au rythme de l’Art&Science

 

La culture du risque, c’est en première intention la gestion des risques naturels (tempêtes, tsunamis, incendies, crues centennales et autres catastrophes) sous toutes ses formes : prévention, information, prise en charge, restitution, rédemption… mais c’est aussi et surtout un des marqueurs sociaux les plus pointus de nos écosystèmes, qu’ils soient économiques ou écologiques. Or, selon les cultures locales, les chapelles ou les segments sociaux concernés, l’expression du risque revêt des formes totalement différentes, allant du déni ou de l’absence totale de sa prise en compte, à son utilisation outrancière dans des territoires où elle n’est pas attendue.
Et l’Art en est un. De Giordano Bruno à la destruction des œuvres d’arts monumentales en tant que symboles culturels par les radicalistes, de Guernica au projet de musée d’Hitler, des autodafés aux performances d’artistes qui affrontent les tabous de plein fouet et les publics hostiles, du risque du ridicule que prend le comédien au risque surréaliste pris par Dali dans Le chien andalou de Buñuel. Le risque de la culture est bien réel quand il est engagé et se commet au péril de sa vie (art circassien, poésie, littérature, bio-art). De nombreux penseurs ou philosophes l’identifient comme polysémique, confus et à la source de vraies catastrophes :  preuves en sont les dégâts causés par l’absence de culture du risque dans l’éducation, la dépendance, l’économie, les technologies ou la culture d’entreprise.
De la culture du risque au risque de la culture…

Si les expositions aux risques du quotidien, et à l’autre bout, aux risques extrêmes sont clairement envisagés, la dimension émergente des risques comme la pollution, le nucléaire, les OGM ou le changement climatique, bien que clairement diagnostiquée et omniprésente demeure sourde, à l’image de la pipe de Magritte. Les frontières entre risque acceptable et danger réel sont floues et tributaires de la survenance d’événements tragiques. Fukushima en est l’exemple typique où on nous décrit le Japon comme un « archipel de résilience » tant le risque sismique y est prégnant, fait partie de la culture japonaise comme l’opium fait partie des arts et des rituels de la tradition chinoise. Est-ce à dire que les japonais sont résilients comme d’autres cultures pourraient l’être lorsqu’elles sont empruntes d’une mémoire du risque ayant engendré des catastrophes naturelles, des holocaustes ou des destructions massives de
population?


Culture du risque rime donc avec diversité culturelle, risque identitaire et risque de globalisation ou de mondialisation de la culture. L’analyse des risques d’hyperculturation d’une part, (big data) et de transculturation d’autre part - lorsque l’Art et la Science s’autofécondent par exemple -, devrait donc être une priorité de nos géopoliticiens dans la mesure où l’homme augmenté prend des trajectoires transhumanistes qu’il faut relier, non pas à une acculturation, mais à une culture du risque comme prise à rebours. L’enjeu pour certains scientifiques supplante en effet le risque, au point qu’il est présenté comme anodin ou inéluctable…
La culture du risque comme leitmotive d’une société aveuglée par le progrès et la toute puissance de l’homme… Prendre le risque de la culture reviendrait alors à l’assumer dans sa transversalité et sa pleine diversité. 

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APPEL DE COURTS-MÉTRAGES 360°

Publié le 2 Novembre 2017 par Anaïs BERNARD dans appel à projets

APPEL DE COURTS-MÉTRAGES 360°

Concours de films et fictions immersives de 4 minutes à 6 minutes / 4mn to 6mn Immersive Short films Competition

Date limite 10 novembre 2017 (minuit) / Deadline November 10th (midnight)


Lancé en Mars 2012, le SAT Fest est un festival de courts-métrages en 360° mettant en valeur la création de contenus artistiques dans le domaine de l'immersion audiovisuelle. La sélection de films sera dévoilée au public au printemps 2018 sur le site web de la SAT (www.sat.qc.ca/SATFEST2018).

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Anthropologies numériques #5

Publié le 1 Novembre 2017 par Anaïs BERNARD dans evenement

Anthropologies numériques #5
Croire, créer, désirer : faire avec l’autre

15 – 17.11.17
18h30 — 22h30
Manifestation organisée par «les écrans de la liberté», soutenue par le labex hastec (histoire et anthropologie des savoirs, des techniques et des croyances) du 15 au 17 novembre au Cube et du 18 au 19 novembre au Point Ephémère.
Dans un contexte politique où les désirs, les créations et les croyances qui nous animent sont fortement menacés, la 5e édition de « Anthropologies Numériques » vous convie à construire ensemble des espaces-temps collectifs. 

Réalisateurs, plasticiens, praticiens du numérique, chercheurs en sciences humaines, artistes de l’art-performance, de la danse et du théâtre sont présents afin de comparer et confronter leurs outils, leurs pratiques et leurs choix de représentation. Notre intention est d’offrir droit de cité à leurs œuvres tout en brisant les rites convenus des rapports entre les créateurs et leurs publics. En privilégiant l’approfondissement du dialogue et l’interaction avec le public, tous ces dispositifs et interventions permettent de partager les multiples formes d’écritures corporelles, visuelles, sonores ou immatérielles.

Pendant 5 jours (3 au Cube et 2 au Point Éphémère), le public est invité à prendre activement part au déroulement de cet événement qui souhaite dépasser les clivages entre expression artistique, production scientifique et intervention technique. 

Comité de sélection :

Chloe Faux, doctorante en anthropologie sociale et culturelle à l’université de Columbia à New-York
Pascal Leclercq, président des Écrans de la Liberté
Côme Ledésert, réalisateur et doctorant en cinéma à l’université de Westminster à Londres
Jacques Lombard, anthropologue et cinéaste, directeur de recherche honoraire à l’IRD
Nadine Wanono, anthropologue et cinéaste, chercheuse à l’Institut des Mondes africains, CNRS
Beina Xu, réalisatrice, écrivaine et diplômée en anthropologie visuelle à la Freie Universität de Berlin 

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Hakanaï

Publié le 31 Octobre 2017 par Anaïs BERNARD dans spectacle

Hakanaï

Le jeudi 7 novembre 2017, à 20h00
Claire Bardainne & Adrien Mondot


Performance haut de gamme, Hakanaï (fragile, évanescent) est un spectacle hybride, signé d’Adrien Mondot, informaticien et jongleur, et Claire Bardainne, plasticienne et scénographe. Empruntant à toutes ces sources, jouant sur le virtuel et le concret, cette partition pour une danseuse qui part à la rencontre des images, fait naître un espace hors de tout univers connu. D’une grande et intense beauté, pur comme le cristal, limpide et pourtant polysémique, un objet d’art, assurément.

 

Danse Akiko Kajihara, Virginie Barjonet, Satchie Noro, Francesca Ziviani en alternance
Conception, direction artistique, scénographie et mise en scène Claire Bardainne & Adrien Mondot
Production Adrien M & Claire B

 

Tarif unique:
17 euros
Lieu:
Chudoscnik Sunergia ASBL
Art & Culture
Rotenbergplatz 19
4700 Eupen / Belgique

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LIQUID ARCHITECTURE

Publié le 30 Octobre 2017 par Anaïs BERNARD dans evenement

LIQUID ARCHITECTURE

Une collaboration audiovisuelle entre Wiklow, Diagraf et Ewerx, Liquid Architecture aborde la composition et la performance générative en environnement immersif. En combinant données LIDAR et modélisation artistique, des bâtiments et structures du monde réel et des paysages imaginaires sont déplacés et reconstruits point par point dans l’environnement 3D de la projection immersive.

De vieilles églises, chutes d’eau et forêts se fondent les unes dans les autres, s’assemblant et créant des structures impossibles. À chaque construction et dissolution des scènes, l’énergie se transforme, contrastant les idées et croyances représentées. Chaque performeur génère du contenu à partir de son propre système informatique. Des données sont à la fois envoyées et reçues, communiquant des informations sur l’espace, le rythme, la couleur et d’autres signaux variés.

31 octobre au 24 novembre 2017 - Mardi au samedi - 19h
Billet régulier : 19.75$ ( incluant frais web ) - Achetez en ligne ici (et à la SAT)
Durée : 40 minutes

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Manfred Mohr et Eric Vernhes : Beyond the lines

Publié le 26 Octobre 2017 par Anaïs BERNARD dans exposit

Manfred Mohr et Eric Vernhes : Beyond the lines

L’exposition « Beyond the lines » réunit une sélection d’œuvres historiques et récentes du pionnier de l’art assisté par ordinateur Manfred Mohr, aux cotés d’une série de nouvelles pièces d’Eric Vernhes.

Entre dessins et œuvres génératives, l’exposition explore la relation entre écriture algorithmique et signes, entre code invisible et formes visibles.

A découvrir du 13 octobre au 25 novembre 2017, à la Galerie Charlot.

Lieu:
47 rue Charlot 
Paris, 75003 

Manfred Mohr est considéré comme un pionnier de l’art digital. Sa pensée artistique change radicalement suite à la découverte de l’»esthétique de l’information» du Prof. Max Bense au début des années 60. Rapidement, son travail évolue d’un expressionnisme abstrait vers une géométrie algorithmique générée par ordinateur. Encouragé par le compositeur de musique algorithmique Pierre Barbaud, qu’il rencontre en 1967, Mohr programme ses premiers dessins à l’ordinateur en 1969.

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Clair Obscur, de Laurent Mareschal

Publié le 25 Octobre 2017 par Anaïs BERNARD dans exposit

Clair Obscur, de Laurent Mareschal

Exposition du 1er novembre au 10 décembre 2017

Synesthésie présente une exposition personnelle de Laurent Mareschal suite à son accompagnement en résidence en 2014-2015. Clair Obscur est un dispositif filmique tentaculaire autour de la notion d’obscurité. Il prend place dans une boutique spécialement aménagée du Centre commercial Basilique de Saint-Denis.

La peur de l’obscurité et de la nuit est ancestrale. Plus que jamais, nos contemporains cherchent par tous les moyens à la réduire dans l'espace et le temps. C'est une obsession, à tel point que l'on parle désormais de pollution lumineuse. C'est à partir de ce constat que Laurent Mareschal propose de réfléchir au rapport que l'on entretient avec l'obscurité ainsi qu'aux différentes stratégies développées pour la combattre. 

De novembre 2014 à mars 2017, Laurent Mareschal a collecté un ensemble de témoignages à Paris et ses alentours auprès de personnes qui entretiennent une relation au long cours avec l'obscurité : un électricien de nuit, un astrophysicien, un photographe non voyant, une infirmière, un chercheur en biodiversité, un boulanger, une écrivaine, un médiateur de nuit, une éclairagiste, etc. 
Comment ces personnes supportent-elles le travail de nuit ? Cela découle-t-il d’un choix personnel ? Comment vivent-elles au rythme diurne avec leur famille et amis ? La diversité des points de vue et des approches suscite une réflexion concrète et philosophique sur le thème de l'obscurité et du travail de nuit.


Laurent Mareschal est né à Dijon en 1975. Il vit et travaille à Paris.
Dans ses vidéos, installations et performances, Laurent Mareschal recourt à des moyens inattendus. Au cours de déplacements de contextes symboliques, un geste simple devient le support à une confrontation politique, un jeu se transforme en lutte désespérée contre le temps, une rencontre conviviale autour d’une installation éphémère fait émerger les récits historiques. Entre l’engagement et la subtilité, ses projets trouvent leur force dans l’expérience de ceux qui les partagent.
Anna Olszewska

Pour la création de Clair Obscur, Laurent Mareschal a reçu le soutien du l'Aide Individuelle à la Création de la DRAC Île de France - Ministère de la Culture.
La résidence de Laurent Mareschal à Synesthésie en 2014-2015 était soutenue par le Conseil départemental de la Seine-Saint-Denis. 

 

Synesthésie
Centre commercial Basilique
Passage du Saulgier 
93200 Saint-Denis

www.synesthesie.com
syn@synesthesie.com
+33 7 83 19 16 23

Métro ligne 13 – Basilique de Saint-Denis (sortie 2 par la place du Caquet)
RER D et H – Saint-Denis
Tram T1 – Basilique de Saint-Denis

Entrée libre
Exposition ouverte du mercredi au dimanche de 14h à 18h
Visites groupes toute la journée sur rendez-vous

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