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Corps en Immersion

Une actualité dans les arts et les sciences à travers les corps pluriels.

Inside, entrer à l'intérieur de l'oeuvre.

Publié le 4 Novembre 2014 par Anaïs BERNARD dans exposit

© Numen/For Use, Tape Tokyo. (2013) Photo : Junpei Kato courtesy Spiral/Wacoal Art Center

© Numen/For Use, Tape Tokyo. (2013) Photo : Junpei Kato courtesy Spiral/Wacoal Art Center

INSIDE (Exposition collective)

Du 20 octobre au 11 janvier,

Au Palais de Tokyo, Paris.

 

Inside propose au visiteur une traversée à l’intérieur de soi dont l’espace d’exposition serait la métaphore. Cette immense odyssée, tant physique que psychique, invite à traverser deux niveaux du Palais de Tokyo métamorphosé par les artistes de façon à ce que, d’une installation à l’autre, nous soyons toujours à l’intérieur d’œuvres qui nous conduisent en nous, de la peau jusqu’à nos pensées les plus secrètes.

 

Avec : Jean-Michel ALBEROLA, Dove ALLOUCHE, Yuri ANCARANI, Sookoon ANG, Christophe BERDAGUER & Marie PEJUS, Christian BOLTANSKI, Peter BUGGENHOUT, Marc COUTURIER, Nathalie DJURBERG & Hans BERG, dran, Marcius GALAN, Ryan GANDER, Ion GRIGORESCU, HU Xiaoyuan, Eva JOSPIN, Jesper JUST, Mikhail KARIKIS & Uriel ORLOW, Mark MANDERS, Bruce NAUMAN, Mike NELSON, NUMEN/FOR USE, Abraham POINCHEVAL Araya RASDJARMREARNSOOK, Reynold REYNOLDS & Patrick JOLLEY, Ataru SATO, Stéphane THIDET, TUNGA, Andra URSUTA, Valia FETISOV, Andro WEKUA, Artur ZMIJEWSKI.

 

Commissaires : Jean de Loisy, Daria de Beauvais, Katell Jaffrès

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PERFORMANCE électronique de Victoria Lukas

Publié le 3 Novembre 2014 par Anaïs BERNARD dans performance

PERFORMANCE électronique de Victoria Lukas

Jeudi 6 novembre, 19h30, Clichy

Pavillon Vendôme, Centre d'Art Contemporain

"Entre (deux) fantômes"

 

Dans le cadre de l'exposition "Entre (deux) fantômes" de Dorothée Smith au Pavillon Vendôme - Centre d'Art Contemporain à Clichy, projection du film Septième promenade (17 minutes, 2013) et performance électronique de Victoria Lukas, accompagnée par Thomas Suire au thérémine : proposition musicale autour de la bande originale du prochain film de D. Smith, "Spectrographies", actuellement présenté sous la forme d'un work-in-progress au Pavillon Vendôme.

 

Exposition personnelle jusqu'au 4 janvier 2015 (ouverte tous les jours sauf le lundi)

 

INFORMATIONS PRATIQUES
----------------------------------------------------------------

Pavillon Vendôme - Centre d’art contemporain

7 rue du Landy

92110 Clichy

 

Horaires d’ouverture :

Du mardi au samedi de 11h à 19h

Le jeudi jusque 21h

Dimanche de 14h à 18h

Accès :

Métro ligne 13 – station Mairie de Clichy

(sortie rue Villeneuve – remonter la rue Martre, puis 1ère à gauche)

Bus n°54, 74 138, 174, 274, 341, 340

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Un dimanche, une pin-up #99

Publié le 2 Novembre 2014 par Anaïs BERNARD dans un dimanche une pin-up

Un dimanche, une pin-up #99
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Monstres et monstruosités dans les représentations esthétiques et sociales

Publié le 2 Novembre 2014 par Anaïs BERNARD dans appel a communications

Monstres et monstruosités dans les représentations esthétiques et sociales

APPEL À ARTICLES POUR LA REVUE AMÉRIKA

MONSTRES ET MONSTRUOSITÉS

DANS LES REPRÉSENTATIONS ESTHÉTIQUES ET SOCIALES

 

LABORATOIRE INTERDISCIPLINAIRE DE RECHERCHES SUR LES AMÉRIQUES (LIRA) / ÉQUIPE DE RECHERCHES INTERLANGUES MÉMOIRES, IDENTITÉS, TERRITOIRES 4327

Date limite de remise des articles : 15/11/2014

 

Les normes pour la présentation des articles figurent dans notre revue Amerika(www.amerika.revues.org) (http://amerika.revues.org/749). Les articles peuvent être présentées dans l’une des langues suivantes : espagnol, français, anglais, portugais. 40.000 signes maximum (bibliographie et note de bas de page comprises).

A envoyer à : amerika@revues.org et nestorponce35@yahoo.fr

 

Chaque époque crée et imagine des “monstres” depuis la norme, depuis un système (linguistique, politique, religieux, social) qui les situent « contre », « en dehors » ou comme manifestation d’une erreur/faille ou élément étranger et difforme qui déstabilise et met en danger le système, légitimant ainsi son rejet ou bien son assimilation. En ce sens, le monstre est reconnaissable depuis l’altérité qui le constitue. C’est pour cela qu’il nous permet de comprendre comment se construit l’autre et comment on le perçoit. [Tout ceci sans perdre de vue que le monstre n’est pas seulement l’autre ni toute personne qui est hors norme. Nous sommes tous des autres (pour les autres) et nous ne sommes pas des monstres pour autant. L ‘autre est nécessaire à l’identification du moi à qui il sert de support dès la première identification.

Nous proposons un retournement dans l’appréhension contemporaine du monstre vers un retour dans l’intime, individuel et corporel comme symptôme socio-esthétique des interactions problématiques et de l’éclatement structurel  du contexte postmoderne. D’une fonction purement cognitive et représentative qui souvent peut être assimilatrice, le monstre investit une fonction performative dans la sphère de l’action : survie, libération, résistance, revendication, lutte politico-sociale. Le monstre se resitue dans le Moi, dans l’individu, dans la conscience et surtout dans l'inconscient. Depuis Freud nous savons que le moi est clivé et que nous ne connaissons qu'une petite partie de ce moi. L'inconscient formé à partir du refoulement est le réservoir de tout ce qui n'est pas accepté par la société et qui peut apparaître comme monstrueux pour le moi lui-même.

Dans la continuité de l’adage rimbaldien « je est un autre », nous proposons l’hypothèse d’un « je est (peut-être) un monstre ». De la stigmatisation distanciée d’un Autre, le monstre devient l’expression du Moi propre, l’action du Moi sur son propre corps, de l’artiste sur son œuvre, de la société sur sa structure : une possibilité d’auto-conscience comme action libératrice qui rend possible le dépassement de représentations identitaires préétablies dans un mouvement clairement transgressif.

A partir de cette hypothèse, nous pouvons penser à toute sorte d’action sur le corps comme expressions (ou “options formelles”) de revendication identitaire et traces de ce même processus : fragmentation, fracture, (auto)-mutilation, blessure, maladie, appendice, coupure, oubli, animalisation, drogue, séparation aussi bien du corps individuel que du corps social.

Le retournement que nous proposons ne doit pas être compris comme rupture radicale dans la mesure où il se base sur le corps, sur les marques du corps, les restes du passé ou réappropriations dans les représentations et les traditions. C’est en cela que se définit la position contemporaine : dans ce « changement focal » qui met en place le caractère performatif dans la subjectivité et dans la réception du produit esthétique. Ainsi,  nous proposons une réflexion diachronique sur le Monstre dans la mesure où il est présent dans les esthétiques et représentations espagnoles et hispano-américaines, où le monstre occupe une place originale, depuis les entreprises de légitimation des conquêtes, les guerres d’indépendances jusqu’aux discours constructeurs de la Nation ou autres expressions discursives, politiques dictatoriales ou néolibérales… Il nous reste donc à suivre les traces du monstre dans cette perspective de « changement focal » pour mesurer sa portée et son pouvoir esthétique et social aujourd’hui.

Dorénavant, nous proposons une réflexion interdisciplinaire, poursuivant le défi de saisir une certaine entrée « systématisante » dans nos problématiques contemporaines depuis diverses « options formelles » et les « changements focaux » qui les ont impliqué: histoire, mémoire, politique, littérature, cinéma, linguistique, théâtre, musique, art populaire et de rue.

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Corps en scène : l'acteur face aux écrans (Prise 2)

Publié le 1 Novembre 2014 par Anaïs BERNARD dans appel a communications

Corps en scène : l'acteur face aux écrans (Prise 2)

Colloque international 2015, PARIS, 15 -16 ET 17 JUIN

Lieu: Sorbonne nouvelle-Paris3

Depuis une vingtaine d'années, l'apport des nouvelles technologies a modifié en profondeur la scène théâtrale et avec elle, le jeu de l'acteur. Désormais les corps de chair y côtoient fréquemment les corps synthétiques ou hybrides, créant des corporéités mixtes, «mi-chair, mi-calcul» (Couchot) dont l’équilibre varie selon les choix esthétiques des artistes (metteurs en scène, acteurs, concepteurs du spectacle). Que devient l’acteur dans cette confrontation avec la scène  transformée? Quelles techniques de jeu ces nouvelles modalités scéniques imposent-elles aux performeurs? Comment les esthétiques nouvelles qui dérivent de ces mutations conjuguent-elles la juxtaposition du charnel et du virtuel? Comment se déploie, dans ce contexte, la présence du performeur?  Comment se gère son énergie? Son rapport à la voix? À l’espace? Au temps? Au mouvement?

Le colloque que nous envisageons sera consacré à ces questions et, plus particulièrement, aux formes d’interaction entre l’acteur et les technologies sur la scène, quelque forme qu’elles revêtent (écrans, caméras, micros…)  afin de montrer en quoi ces interférences  bouleversent les  théories du jeu qui ont prévalu jusqu'ici.

Face aux nouveaux dispositifs scéniques, l'acteur se voit contraint de développer des stratégies de travail inédites, lesquelles doivent mener à un jeu souple naviguant entre présence réelle et présence médiatisée. Le metteur en scène lui-même, développant de véritables talents de vidéastes, voire de cinéastes, se trouve au coeur de ce travail de création  (FC Bergman, Bud Blumenthal, Guy Cassiers, Romeo Castellucci, Pippo Delbono, Heiner Goebbels, Ivo van Hove, John Jesurun, William Kentridge, Elizabeth Lecompte du Wooster Group, Robert Lepage,  Caden Manson et Jemma Nelson du Big Art Group, Simon McBurney de Complicite, Denis Marleau, Katie Mitchell, Fabrice Murgia, Markus Öhrn, Jean-François Peyret, Alain Platel, Jay Scheib, Cyril Teste, Wim Vandekeybus, Marianne Weems,   Kris Verdonck ainsi que les compagnies Berlin, CREW, Forced Entertainment, Gob Squad, Motus, Ontroerend Goed, Rimini Protokoll, Station House Opera... pour n’en citer que quelques uns). Aidé de tous ses collaborateurs, et du travail du comédien qui demeure au centre de la  scène, il traduit le dialogue des corps (charnels et  virtuels) en formes de présences scéniques modifiées, en altérations de l’art de dire. Comment se déclinent ces modifications au jeu scénique? Ont-elles une incidence sur les fondements du jeu d’acteur tel que véhiculé par  des approches plus traditionnelles?

Confrontées à ces changements qui touchent la scène contemporaine, comment réagissent les écoles de formation de l'acteur? Demeurent-elles fidèles à une certaine conception plus traditionnelle du jeu corporel et de l'interprétation des textes? Comment négocient-elles la mutation des formes de jeu? Si toute une mouvance artistique modifie l'intégration de la présence de l'acteur en scène - et par le fait même son implication lors du travail de création - ne faut-il pas repenser la formation de l'acteur?

La réflexion proposée s’organisera autour de quelques axes:

1. Les modalités du rapport acteur/performeur et la façon dont certaines pratiques spécifiques négocient la dualité corps charnel/corps numérique (projection, immersion, fragmentation, virtualisation, corps augmenté, mécanisé, avatars, etc.). Cet axe pourra faire appel à quelques pratiques emblématiques permettant de suivre ces mutations.

2. Les modes de travail des metteurs en scène, des acteurs ainsi que des concepteurs du spectacle (direction d’acteurs, répétitions, techniques de jeu) afin d’établir ce dialogue des corps, entre virtuel et réel.

3. Les effets produits sur le spectateur par ces pratiques qui l’interpellent directement puisqu’il est invité à expérimenter ces mutations et que ces dernières modifient profondément le mode de saisie visuelle ou cognitive qu’il opère de la scène.

4. Les voies privilégiées par certaines écoles de formation afin de s’adapter à ces nouvelles modalités scéniques.

Ce colloque s’inscrit dans la suite des journées d’études qui se sont tenues à Paris3 en 2014.

Modalités de participation

  • Les propositions de communication (300 mots; 2000 signes espaces compris) doivent être acheminées avec une brève notice biobibliographique à :acteurecrans@gmail.com  avant le 30 novembre 2014.
  • Veuillez indiquer sur le même document votre courrier électronique, votre statut, votre département et votre université (ou votre institut de rattachement).

Organisation: Josette Féral et Louise Poissant

Assistante à l'organisation: Audrey-Anne Cyr

Contact: acteurecrans@gmail.com

Tel.: 33 6 07 76 88 67

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Immersion dans l'horreur

Publié le 31 Octobre 2014 par Anaïs BERNARD dans lieux & festivals

Immersion dans l'horreur

Vous aimez vous faire peur en regardant des films d'horreur ? Vous adorez les maisons hantées dans les parcs d'attraction ? Et en plus Halloween est à notre porte…  Une terrible  envie de frissonner s’impose à vous… Une expérience des plus terrifiantes qui vous marquera pendant longtemps ?

Alors, voici enfin un vrai challenge, de quoi mettre votre courage à rude épreuve.  Le McKamey Manor de San Diego représente un réel défi, et c'est probablement l'attraction présentée dans un parc d’attraction la plus extrême qu’il vous sera possible de vivre sur la planète. Peut-être un peu trop extrême ? A vous de juger avec la vidéo de présentation ci-dessous.

Oubliez les trains fantômes en carton-pâte, là c'est VRAIMENT du sérieux. Situé à San Diego, aux États-Unis, cette attraction est probablement l'une des plus extrêmes du monde. Il faut impérativement être majeur pour y participer.... Et il est obligatoire de signer une décharge avant de pénétrer dans ce manoir hanté. Pourquoi ? Tout simplement parce que le programme est en fait une séance de torture qui durera près de 7 heures ! Inutile de dire que l'expérience est vivement déconseillée aux femmes enceintes et aux personnes sensibles ou cardiaques.

Au menu de ce véritable supplice, un harcèlement continu. Vous serez séquestré dans un frigo, ligoté, bâillonné, enfermé dans des cages, bousculé, aspergé de sang, forcé à manger des trucs bizarres... Vous n’en avez encore pas assez ? Pas de problème, on vous plongera la tête dans les toilettes, et on vous enfermera avec des serpents et des araignées. Et le pire, c'est qu'une fois l’expérience commencée, il est absolument impossible de faire marche arrière. Vous êtes prisonnier de votre propre choix, de votre propre cauchemar. Vous aurez beau pleurer, hurler, supplier de partir... Ça ne s'arrêtera pas. Il est clairement stipulé dans le contrat que vous signez à l'entrée que seul le début de folie ou l'évanouissement mettront un terme à l'expérience.

Notons aussi que, selon le propriétaire des lieux, personne n'a jamais réussi à tenir le coup durant les 7 heures de tortures infernales. En moyenne les participants sont HS au bout de deux ou trois heures. Alors, qui est partant ? Là au moins on ne peut pas dire qu'il n'y ait pas de challenge.

Alors joyeux Halloween, hé, hé, hé… 

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PARTY D'HALLOWEEN DANS LA SATOSPHÈRE

Publié le 30 Octobre 2014 par Anaïs BERNARD dans evenement

PARTY D'HALLOWEEN DANS LA SATOSPHÈRE

La SAT (Canada) fête aussi halloween.

DJS

VITO & DRUZZI 
[NYC / THE RAPTURE DJs / THRONE OF BLOOD]

facebook.com/The-Rapture

HATCHMATIK [MTL]
hatchmatik.com

JEALOUS LOVERS [MTL]
soundcloud.com/jealouslovers

VJS

DIAGRAF - facebook.com/Diagraf

TIND - tind.org

AZYL - facebook.com/vjazyl


Vendredi 31 octobre - 22 h à 3 h
Prévente : 16,75 $ (frais inclus)

► PAGE FACEBOOK
► BILLET EN LIGNE


BILLETS AUSSI DISPONIBLES EN BOUTIQUE

Cheap Thrills : 2044, Metcalfe
Atom Heart : 364, Sherbrooke E
Off The Hook : 1021, Ste Catherine O.
Moog Audio : 3828, Saint-Laurent
Aux 33 tours : 1379, Mont-Royal E.
Phonopolis : 207, Bernard O.

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UN AVENIR POUR VOS ŒUVRES NUMÉRIQUES

Publié le 29 Octobre 2014 par Anaïs BERNARD dans conférence

UN AVENIR POUR VOS ŒUVRES NUMÉRIQUES

Le futur doit se penser au présent ; c’est ce que nous enseignent les œuvres d’art numérique du passé. Car l’évolution très rapide hard et soft des ordinateurs et de leurs périphériques conduit à une obsolescence de ces créations, quels que soient le support et la technologie employés.

Comment rendre ces œuvres numériques pérennes, a minima, comment augmenter la durée de leur accès et de leur jouabilité ? Cette simple question, bien plus riche et complexe qu’elle n’y paraît, s’avère cacher de nombreux tiroirs.

La sensibilisation à cette question et à ses multiples facettes reposera essentiellement sur des études de cas, qui s’articuleront autour de deux axes principaux : tout d’abord l’inscription de la démarche dans une archéologie des médias, puis la confrontation de cette problématique aux œuvres en cours de réalisations.

La discussion qui s’en suivra portera sur les ébauches de solutions, en termes de possibilités techniques, de documentations mais aussi plus globalement de pertinence de la démarche.

 

Les études de cas et les réflexions qui en découlent sont issues des expérimentations de deux laboratoires : ARNUM – Art et recherche numérique – de l’ESIEA (grande école d’ingénieurs en sciences du numérique) et PAMAL – Preservation and Archaeology Media Art Lab – de l’École supérieure d’art d’Avignon.

 

Ce séminaire se déroule le mercredi 12 novembre 2014, de 9h à 18h et s’adresse aux artistes, étudiants, chercheurs et professionnels des arts et de la culture. Renseignements et réservation au 01 58 88 3000 (tarif : 10€).

 

INTERVENANTS

Claire Leroux : directrice du laboratoire ARNUM de l’ESIEA. Membre de l’Association Internationale des critiques d’art.

Christophe Bruno : Net-artiste, enseignant- chercheur à l’ESAA, responsable du projet de recherche D.A.V.E (création), programme PAMAL.

Prune Galeazzi : conservatrice-restauratrice et assistante d’enseignement à l’ESAA. Co-responsable du projet de recherche H.A.L. 8999 (préservation), programme PAMAL.

Lionel Broye : artiste, éditeur numérique, professeur d’enseignement artistique à l’ESAA. Co-responsable du projet de recherche H.A.L. 8999 (préservation), programme PAMAL.

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STAL, un univers explorable à 360° par le spectateur.

Publié le 28 Octobre 2014 par Anaïs BERNARD dans actualite

STAL, un univers explorable à 360° par le spectateur.

STAL, c’est le projet de Pierre-Marie Maulini, compositeur,  producteur et collaborateur de longue date de M83, notamment sur l’album et la tournée Saturday = Youth de 2012. Il est donc assez logique que l’on retrouve dans ce projet solo les sonorités lumineuses et les envolées joyeuses qui avaient fait le succès de morceaux comme le classique Midnight City. Des titres pop, simples et gais comme une invitation au voyage dans un monde qui ne serait pas tout à fait le notre sans être pourtant trop différent.

Pas besoin d’en faire des caisses lorsque l’idée est bonne. Ça, Gone, ce premier clip de STAL l’a bien compris. Et pourtant, derrière l’apparente simplicité graphique de ces paysages se cache un concept bien plus audacieux : rendre possible l’exploration à 360º par le spectateur de cet univers aussi minimaliste que géométrique imaginé par l’agence de pubards émérites Les Gaulois.

Et pour vous permettre cette balade improbable, le clip est proposé sous trois formats différents : tout d’abord une vidéo Youtube – ci-dessous – qui permet de se familiariser avec ce monde à mi chemin entre un jeu vidéo Windows 95 et la pochette de Boys Don’t Cry que chialait The Cure en 1979. Ensuite, rendez-vous sur le minisite pour visiter à coups de souris les alentours du clip. Et enfin, clou du spectacle, une version de Gone est disponible dans un version immersive 3D utilisable sur les casques Durovis Dive – sorte de Oculus Rift où votre téléphone vient remplacer l’écran. 

Le résultat est bluffant puisque c’est de la tête puis du corps tout entier que vous évoluez dans Gone, une experience immersive détonnante accompagné par l’entrainant morceau de STAL qui vous emporte puis vous perd dans son monde, faisant au passage tout disparaitre autour de vous. On vous conseil d’éviter de tenter l’experience dans le métro sous peine de louper votre station.

Si, vous n’êtes pas équipé, on vous invite à monter votre version DIY du casque d’immersion 3D en suivant les étapes du tuto que voici. Cette première est disponible via une application téléchargeable sur iOS et Android

Retrouvez ci-dessous quelques images issues du clip ainsi que quelques gus partis très très loin dans le monde de STAL. 

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EXPOSITION: « BE MY DESIGNER TOYS »

Publié le 27 Octobre 2014 par Anaïs BERNARD dans exposit

EXPOSITION: « BE MY DESIGNER TOYS »

EXPOSITION « BE MY DESIGNER TOYS »

Du 16 octobre au 5 janvier 2015

De 11h à 19h du mardi au samedi

Vernissage le jeudi 16 octobre 2014

 

Les Art toys, aussi appelés designer toys, urban vinyl ou vinyl toys sont les termes utilisés pour décrire des figurines en édition limitée. Ils sont apparus vers la fin des années 1990 à Hong-Kong et au Japon.

Ces figurines sont créées par des artistes, dessinateurs et illustrateurs issus d’univers aussi différents que l’art contemporain, le graffiti, le street art, le webdesign, l’illustration, la bande dessinée, la mode. Le matériau le plus fréquemment utilisé pour ces figurines est le plastique vinyle. Néanmoins il en existe également en bois, en céramique, en métal.

Depuis maintenant quatre ans, le festival BE MY TOYS, (produit par l’association Le Candiraton),  référence du Art Toys en  France nous  propose de découvrir ces petites figurines en vinyle en édition limitée. Aussi connus sous le nom de designer toys, urban vinyl ou vinyl toys, ces objets voient le jour dans les années 1990 à Hong-Kong et au Japon et s’imposent progressivement comme de véritables pièces de collections.

Le Candiraton s’associe aujourd’hui à Maker/Seine (studio de création spécialisé dans l’impression 3D) pour présenter une exposition autour du Art Toys et leurs designers utilisant dans leurs étapes de conceptions l’impression 3D.

En exclusivité, retrouvez des pièces de Doze X Secretlab, François Bonnet, Badmarvel, Oskunk, Matto, Buld Zone, Tsuchinoko et bien d’autres.

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