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Corps en Immersion

Une actualité dans les arts et les sciences à travers les corps pluriels.

Biophysical feedback, de Susana Sulic

Publié le 30 Novembre 2017 par Anaïs BERNARD dans exposit

«Cosmosis10» © Susana Sulic

«Cosmosis10» © Susana Sulic

Exposition de l'installation multimédia Biophysical feedback du 5 au 23 décembre 2017.

Susana Sulic explore, à partir de différentes techniques, les phénomènes vibratoires et les ondulations dans leur essence énergétique. Son installation pluridimensionnelle Biophysical feedback est réalisée à partir de poésies, de vidéos-projection, d’effets sonores, d’images algorithmiques et 3D. Chaque semaine, une thématique nouvelle s’ajoutera et modifiera la précédente. Donner vie à l’inaperçu, mettre en lumière des scénographies mutantes, aller aux profondeurs de la matière sont autant de défis que l’artiste s’impose ici.

Avec la participation du public, Susana Sulic propose de nouvelles formes d’interprétation, des nouveaux regards sur le paysage environnant ou sur des mondes éloignés, étrangers à notre quotidien. Ces séries de travaux constituées à partir de variations engagent le spectateur dans l’action et stimule sa capacité d’observation. Défiant les atouts de l’optique linéaire, l’artiste tente d’ouvrir la voie à des expériences esthétiques fondamentales en tenant compte des divers aspects de la théorie de la mesure et des méthodes de traitement quantique de l’information. Dans ses images digitales et poèmes-vidéo algorithmiques, Susana Sulic explore la dilatation du temps.

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#Softlove Prélude

Publié le 29 Novembre 2017 par Anaïs BERNARD dans exposit

#Softlove Prélude

Du 2 décembre au 6 décembre 2017 retrouvez #Softlove Prélude à la Médiathèque Louis Pergaud, intégrée à la programmation de la Biennale Némo.

Satellite au spectacle #Softlove, cette installation intimiste est une création sonore au casque pour 20 personnes, mettant en place la narration du roman d’Eric Sadin dans un climat d’hypnose privilégié. Immergez-vous dans cette adaptation, allongés dans des transats, un casque sur les oreilles, et découvrez les « pensées » et stratégies d’une Intelligence Artificielle amoureuse de la jeune femme que l’I.A. est sensée « assister ».

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Les Faits du hasard

Publié le 28 Novembre 2017 par Anaïs BERNARD dans exposit

Les Faits du hasard

09.12.2017 > 04.03.2018

avec Arcadi, dans le cadre de Némo, biennale internationale des arts contemporains numériques / Paris Île-de-France

Accidents artistiques intentionnels et relecture poétique d’une société technologique perçue à l’heure du numérique sont au cœur de la prochaine exposition centrale de la Biennale internationale des arts numériques au CENTQUATRE-PARIS, Les Faits du hasard. Une façon pour l’homme de reprendre la main sur la machine ?

 

À PROPOS

La Biennale internationale des arts numériques d’Ile-de-France, héritière du festival Némo, va retrouver pour sa deuxième édition (décembre 2017 – mars 2018) son centre névralgique du CENTQUATRE à l’occasion de sa grande exposition et thématique transversale : Les Faits du hasard.

Comme pour les deux précédentes expositions, la direction artistique y est cosignée par Gilles Alvarez, directeur de la Biennale et de la coordination événementielle d’Arcadi, et José-Manuel Gonçalvès, directeur du CENTQUATRE. Un gage de continuité pour une programmation qui s’inscrira à nouveau dans la grande mécanique artistique du hasard, de l’accidentel et de la sérendipité, ouverte, il y a deux ans, par l’exposition Prosopopées : quand les objets prennent vie. « Avant le hasard dans l’art, c’était l’erreur », affirme Gilles Alvarez. « Mais depuis Marcel Duchamp et la mécanique quantique, il existe un hasard intentionnel, un outil qui demande à être organisé par le geste artistique ».

Dans cette nouvelle exploration du rapport homme/machine, où le processus technologique se heurte à une équation artistique souvent capricieuse, plusieurs installations témoigneront donc d’étapes créatives alambiquées, passant par une multiplicité de supports à l’image du Buzz Aldrin Syndrom de Quentin Euverte, dans lequel matières analogiques, datas numériques, processus chimiques et projection live cinéma participent d’un imprévisible résultat, aux allures de cadavres exquis. 
Pour José-Manuel Gonçalvès, il s’agit de « construire une exposition d’art contemporain qui va puiser dans toutes les esthétiques, dans le numérique, dans le théâtre d’objets, et de jouer de la variété du hasard pour montrer que le résultat d’une œuvre n’est pas toujours reproductible ». Attendez-vous donc à des surprises lorsque vous vous projetterez dans le corps d’un autre, à l’aide d’un casque (l’expérience de body swap de The Machine to Be Another du collectif BeAnotherLab) ou quand vous observerez les chorégraphies pixellisées des escargots augmentés de Cyril Leclerc et d’Elizabeth Saint-Jalmes (Le Pixel lent).

Pour autant, l’exposition Les Faits du hasard sera moins ancrée dans l’absurdité technologique que Prosopopées. Elle s’attellera à une lecture plus poétique, plus contemplative de notre société technologique filtrée par le numérique. « Le hasard, c’est le contraire de ce qu’on croit qu’est l’art numérique, dont on pense qu’il nous amène au contrôle de tout, à la perfection », résume José-Manuel Gonçalvès. « Mais peut-être que la plus grande perfection, c’est justement que les choses ne soient pas totalement parfaites ? ».
Humain, vous avez dit humain ?

 

LE CENTQUATRE-PARIS - 5 rue Curial - 75019 Paris

 

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Émancipation - la revue du cube n°13

Publié le 27 Novembre 2017 par Anaïs BERNARD dans ouvrage, Ouvrage, Evenement

Émancipation - la revue du cube n°13

Pour le lancement de son 13e numéro,La Revue du Cube s’associe aux Rendez-vous du Futur et à la Social Good Week pour vous proposer une soirée exceptionnelle d’échanges autour du thème « Émancipation », le 5 décembre 2017, à 19h.
La Revue du Cube, publication en ligne lancée en octobre 2011, continue son exploration des thèmes prospectifs liés aux profondes mutations du monde, induites notamment par la révolution numérique.

Les nouvelles technologies offrent à l’humain la possibilité de se libérer des tâches aliénantes, de se doter du savoir planétaire et de la puissance d’agir de millions d’individus. Cette histoire n’est pas une fiction, elle est une réalité en mouvement pour peu que nous le décidions. Partout dans le monde, une aspiration à l’émancipation et à la capacitation anime des forces de refondation qui répondent par l’audace et la créativité aux troubles du présent. Mais comment mettre la forge numérique au service de tous, afin qu’ensemble nous puissions écrire et partager le récit du monde qui vient ?

Contribuez aux échanges en participant à cette émission de télévision interactive réunissant des personnalités inspirantes venues de tous les horizons, suivie d’une discussion avec les contributeurs de La Revue autour d’un verre. 

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La scène augmentée

Publié le 26 Novembre 2017 par Anaïs BERNARD dans conférence, performance

La scène augmentée

Colloque: La scène augmentée
projet de recherche labex arts-h2h
11 – 15.12.17


Le théâtre est depuis toujours un lieu d’augmentation et de transformation de la réalité, que ce soit du côté de l’espace scénique ou de celui du corps de l’acteur. Depuis une vingtaine d’années néanmoins, l’apport des nouvelles technologies a modifié en profondeur la scène théâtrale.
Dans le côtoiement des corps de chair avec des corps synthétiques ou hybrides, dans le déferlement de pratiques transmédiales, qu’en est-il de l’acteur, du metteur en scène et du formateur, les trois figures clés du théâtre du 20e siècle ? Comment se transforment leurs techniques et leurs modalités de travail ? Quelle est leur place dans la société ?

Le projet Labex Arts H2H, La scène augmentée : jeu de l’acteur, pratiques de création et modes de transmission (2015-2017) vise à produire une réflexion organique sur les changements que connaît le champ théâtral, en se fondant sur une méthodologie multiple qui combine enquêtes de terrain, recherches historiques, élaboration théorique et pratique expérimentale. Pour comprendre les esthétiques et les processus de création, le point de vue adopté est celui des artistes eux-mêmes (acteurs et metteurs en scène), impliqués directement dans la réflexion et l’expérimentation collectives.

Dans ce sens, l’un des temps forts du projet est le volet Masques et avatars, un parcours de recherche-création développé par une équipe interdisciplinaire depuis 2015, qui met en dialogue jeu théâtral avec masque et animation temps réel d’avatars numériques.

Workshop : Apprivoiser les avatars en mode recherche-création, du 11 au 13 décembre, de 14h30 à 18h (Gratuit sur réservation).
Colloque: Masques technologiques : altérités hybrides de la scène contemporaine, du 14 au 15 décembre, de 9h30 à 18h (Gratuit sur réservation).
Performance: Masques et avatars, du 14 au 15 décembre, à 20h30 (Gratuit sur réservation).

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The Art of Secret

Publié le 25 Novembre 2017 par Anaïs BERNARD dans exposit

The Art of Secret

Il est intéressant de constater à quel point la sphère artistique digitale s’est emparée des questions liées à la surveillance dans l’ère numérique, d’autant plus dans un contexte de renforcement sécuritaire.

A l’occasion de la Saison des cultures numériques, l’exposition « The art of secret » vient compléter au Mundaneum dès le 23 novembre 2017 l’exposition grand public Top Secret ! Un monde à décrypter !* qui plonge le visiteur dans l’univers des codes secret et de la cryptologie.

Imaginez une société sans secret ? Ainsi commence le parcours. L’exposition offre une vision artistique et prospective, avec diverses interprétations artistiques susceptibles de faire découvrir à un public non spécialisé, des œuvres critiques, engagées ou innovantes sur l’univers du secret.

En dialogue avec les indexcards du Mundaneum, découvrez les installations de Valérie Cordy, Dries Depoorter, Nicolas Maigret et Maria Roszkowska, Martin De Bie et Audrey Briot, Mathieu Zurstrassen, sans oublier Palimpsest, l’exposition des photographies de Philippe Braquenier.

* Top secret ! Un monde à décrypter : Le Mundaneum et l’UCL proposent un retour aux prémices de la cryptographie et de la cryptanalyse avec les premiers « hackers » de l’Histoire : les casseurs de code britanniques emmenés par Alan Turing durant la seconde guerre mondiale. « Top Secret ! » est aussi l’occasion d’une mise en lumière d’enjeux contemporains de notre société mise en données, tels que la cyber sécurité et la cyber paix. Jusqu’au 20 mai 2018.


Informations:
20.11.2017 > 07.01.2018
Mundaneum
Rue de Nimy 76, 7000 Mons
gratuit

Production:
Une coproduction Mundaneum, Transcultures, dans les cadre de la Saison des Cultures numériques 2017 de la Fédération Wallonie-Bruxelles.

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William Forsythe x Ryoji Ikeda

Publié le 24 Novembre 2017 par Anaïs BERNARD dans exposit

Ryoji Ikeda / test pattern © Wonge Bergmann pour la Ruhrtriennale 2013

Ryoji Ikeda / test pattern © Wonge Bergmann pour la Ruhrtriennale 2013

DATES ET LIEUX
La Villette 
1 au 31 décembre 2017


William Forsythe, chorégraphe iconoclaste, et Ryoji Ikeda, musicien multidisciplinaire, présentent simultanément leur travail plastique. Deux installations envoûtantes et monumentales qui engagent le visiteur jusque dans son corps.
Le premier est un chorégraphe qui, non content d’avoir révolutionné le ballet « classique », a toujours professé de la chorégraphie – laquelle, dit-il, ne saurait être confondue avec la danse. Le second, l’une des figures-phares de la scène des musiques électroniques, envisage la musique simultanément dans ses dimensions plastique et spatiale. Entre William Forsythe, l’Américain jadis établi à Francfort, dont l’œuvre dit assez la passion de la musique, et Ryoji Ikeda, le Japonais installé à Paris, qui fit ses débuts artistiques au sein du précurseur collectif Dumb Type, la rencontre semblait tomber sous le sens. Après avoir collaboré en 2006 autour de l’installation Antipodes I/II de Forsythe, et présenté conjointement leurs installations à plusieurs reprises, ils confrontent une fois encore leur travail plastique. Nowhere and Everywhere at the Same Time Nº2, basée sur une installation initialement créée dans un bâtiment abandonné de New York et dont la forme s’adapte à chaque nouvel environnement, s’inscrit dans la série des Objets chorégraphiques de William Forsythe : des centaines de pendules disposés dans l’espace obligent le visiteur à repenser le rapport de son corps à celui-ci, et l’invitent à activer l’œuvre pour en devenir le chorégraphe. Quant à Ryoji Ikeda, il présente une nouvelle déclinaison, monumentale, de son projet test pattern, à travers laquelle il traduit et matérialise le flux de données (sons, textes, photos, films) dans lequel nous sommes quotidiennement immergés. Une succession hypnotique de motifs noirs et blancs, codes-barres générés par la conversion en temps réel d’ondes sonores, défile à un rythme vertigineux, en synchronie avec la musique, invite le visiteur autant à s’aventurer aux confins de sa perception qu’à méditer sur les limites de sa condition.

Visite d’exposition traduite en langue des signes française
Samedi 9 décembre 15h – La Villette / Grande halle 
Renseignements et réservation auprès de Pascale Tabart : 
p.tabart@festival-automne.comRéalisation Accès Culture

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Audioneural network - Thomas Bigot & Frédéric Villeneuve-Séguier

Publié le 23 Novembre 2017 par Anaïs BERNARD dans exposit

Audioneural network - Thomas Bigot & Frédéric Villeneuve-Séguier

Dans le cadre de némo, biennale internationale des arts numériques, paris / île-de-france
Composée d’une grande quantité de câblage et de schémas électroniques, « Audioneural Network » est une installation générant une symphonie dont la partition musicale n’est pas planifiée à l’avance.Elle est exposée du 30 novembre au 23 décembre 2017.

Les modules fonctionnent chacun de manière autonome tout en influençant le système global, sans être cependant pilotés par une intelligence artificielle « maîtresse » qui chercherait à produire une cohérence sonore d’ensemble. Une large palette d’effets sonores et de spatialisation du son est exploitée par des algorithmes, mais également déclenchée par des capteurs, avec pour objectif d’introduire plusieurs composantes chaotiques dans la création sonore, tant dans sa structure temporelle que dans ses variations. Le système génère ainsi une forme de « partition » non linéaire et chaque fois unique, dont la musicalité est soumise à de nombreux facteurs de hasard.

Conception et réalisation des modules électroniques
Thomas Bigot
Modélisation et développement informatique
Frédéric Villeneuve-Séguier

Projet financé par la Direction Régionale des Affaires Culturelles de Midi Pyrénées dans le cadre de l’aide individuelle à la création. En coproduction avec Arcadi, dans le cadre de Némo, Biennale internationale des arts numériques - Paris Île-de-France. 

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Résonance Interactive

Publié le 22 Novembre 2017 par Anaïs BERNARD dans exposit

Résonance Interactive

Automates: la science de l’art

La figure de l’artiste scientifique ou du scientifique artiste a traversé l’histoire empruntant les chemins sinueux, hasardeux et parfois poétiques de l’expérimentation. Les technologies digitales permettent de repenser les contours des disciplines artistiques en favorisant l’hybridation et l’innovation. Cette exposition, inscrite dans le cadre de la Maison de la Science à Liège, explore les multiples facettes privilégiées par le croisement de ces entités, positionnant de manière pertinente l’art numérique dans l’histoire des sciences et des techniques, entre le sensible et le pragmatique, l’esthétique et le pédagogique, l’innovation et la performance.

Cette exposition rassemblera des installations interactives du couple d’artistes Scenocosme.

Depuis plusieurs années, Scenocosme (Grégory Lasserre et Anaïs met den Ancxt) crée des œuvres interactives dans une démarche singulière d’hybridation entre éléments naturels et technologiques. Ces installations interrogent nos relations à l’environnement (naturel, social, technologique) à travers tous nos sens (la vue, le toucher, l’ouïe).

Du physique au numérique, des interfaces aux surfaces, c’est toute la dimension biologique du digital que Scenocosme interroge dans ses installations.
Informations

Informations:
10.11 > >09.12.2017
Maison de la Science
22, Quai Edouard Van Beneden, 4020 Liège
gratuit

Production:
Accessible du lundi au vendredi de 9h00 à 12h30 et de 13h30 à 17h00
Les week-ends et jours fériés, de 14h00 à 18h00

Une coproduction Théâtre de Liège, Maison de la Science et Transcultures. Dans le cadre et avec le soutien de la Saison des Cultures numériques de la Fédération Wallonie-Bruxelles.

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LA BELLE VIE NUMÉRIQUE !

Publié le 21 Novembre 2017 par Anaïs BERNARD dans exposit

Marie Julie Bourgeois

Marie Julie Bourgeois

LA BELLE VIE NUMÉRIQUE !
17 novembre 2017 - 18 mars 2018
Depuis la fin des années 1980, le « numérique » a transformé irrémédiablement nos vies mais également la démarche artistique à travers le monde. L’exposition proposée par La Fondation Groupe EDF et le commissaire Fabrice Bousteau, tente de capter un instantané de notre époque insaisissable et questionne la scène artistique actuelle.


Informations:
Entrée libre
du mardi au dimanche de 12h à 19h

Lieu :
Espace Fondation EDF
6, rue Récamier 75007 Paris

Comment les artistes des dernières générations, ceux qui ont vu arriver la révolution numérique et ceux qui sont nés avec, ont-ils transformé leurs pratiques ? Comment reflètent-ils le changement de perception du monde ressenti par chacun d’entre nous ? Leurs outils de création ont-ils été influencés par les outils GAFA (Google, Amazon, Facebook, Apple) ? Quels regards portent-ils sur ce nouveau monde dont on ne perçoit plus parfois les frontières entre réel et virtuel ?

A travers un parcours sensible, rassemblant les travaux d’une trentaine d’artistes aussi bien reconnus qu’émergeants comme Aram Bartholl, Lee Lee Nam, Lyes Hammadouche, Matteo Nasini, Amalia Ulman, Winshluss, Xavier Veillan, Julien Levesque, Encoreunestp, cette exposition peut surprendre car elle se détache volontairement de l’image technologique ou des clichés technoïdes que le mot « numérique » fait surgir dans l’imaginaire collectif.

L’exposition questionne plutôt le visiteur avec humour, dérision ou encore émerveillement, le renvoyant à son vécu, à ses sentiments, et l’invite à découvrir les délices, et les vices, de son devenir numérique.

Vie numérique mode d’emploi !

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