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Corps en Immersion

Une actualité dans les arts et les sciences à travers les corps pluriels.

festivals

MICRO MONDES - Édition 2017

Publié le 7 Novembre 2017 par Anaïs BERNARD dans festivals

MICRO MONDES - Édition 2017

Micro Mondes est un festival de spectacles vivants et de multimédia, dédié à la création contemporaine et en particulier aux formes artistiques immersives.

Micro Mondes propose un parcours étonnant à la découverte d’artistes issus du théâtre, des arts plastiques, de la danse… qui convient le spectateur au cœur d’univers intimistes et sensoriels. Images, sons, sensations tactiles… autant d’expériences poétiques et insolites, ouvertes à tous.

Micro Mondes est organisé par le Théâtre Nouvelle Génération – Centre dramatique National de Lyon.

 

AUTOUR DES SPECTACLES

DES RENDEZ-VOUS POUR TOUS

Pour approcher d’un peu plus près l’univers des artistes, de nombreux rendez-vous, adaptés à chaque âge, vous sont proposés parallèlement aux spectacles : visites guidées des décors et dispositifs immersifs, ateliers de pratique, rencontres avec les artistes… Des moments conviviaux pour échanger et se familiariser avec plaisir à la démarche artistique.

 

BOCALEOTYPE - EXPOSITION

« Qui aimerais-je être une fois âgé ? Comment est-ce que je m’imagine dans un futur lointain ? » Se dessiner, se réinventer autrement, plus tard, plus vieux ; dépasser les contraintes du réel pour regarder au loin et se rêver.

Lieu : Le TNG-Vaise

du 14 au 25 novembre aux horaires de la billetterie et une heure avant et après les spectacles.

 

24/7 - SORTIE DE RÉSIDENCE

Le collectif INVIVO poursuit sa résidence entamée la saison passée au Théâtre Nouvelle Génération autour de la création 24/7. En devenant bêta-testeur, expérimentez au moyen de casques VR (Virtual Reality) les sensations liées au rêve et au sommeil. Vous contribuez ainsi activement à la création en cours. Entre développement technologique et écriture de fiction, le collectif lyonnais INVIVO poursuit sa passionnante exploration du sommeil. Leur prochaine installation-spectacle, 24/7 s’inscrit à la frontière du théâtre, des arts numériques et des arts immersifs dans un dispositif de réalité virtuelle et de spatialisation sonore.

Conception, écriture, développement Alexia Chandon-Piazza, Julien Dubuc, Chloé Dumas, Grégoire Durrande, Samuel Sérandour Interprètes Sumaya Al-Attia, Maxime Mikolajczak

Lieu : Les Ateliers - Presqu’île du 22 au 24 novembre

mer 22 ......18h ....20h
jeu 23 .........18h ....20h
ven 24 .......18h ....20h

scolaires
mer 22 ......11h
jeu 23 .........11h

durée 1h
pour tous, dès 15 ans
Rendez-vous gratuit dans la limite des places disponibles et sur inscription auprès de la billetterie.

AUTOUR D'ARTEFACT

Visite commentée à l’intérieur du dispositif d’Artefact > sam 18 novembre à l’issue de la représentation de 17h
Rencontre en bord de scène > dim 19 novembre à l’issue de la représentation de 17h


AUTOUR DE JE SUIS LA BÊTE

Rencontre en bord de scène > ven 24 nov, après la représentation de 20h30
En écho au spectacle, découvrez les œuvres sonores de Mondes flottants, 14e Biennale d’art contemporain de Lyon. Plus d’informations sur biennaledelyon.com


AUTOUR DE L'EXPOSITION BOCALÉOTYPE

Après-midi en compagnie de Traversant 3 : Créez vos bocaux et ajoutez-les à ceux de l’exposition Bocaléotype avec Ulrich Becouze, Clément Arnaud et Rodolphe Brun > sam 25 novembre de 14h30 à 16h30 (enfants de 8 à 11 ans accompagnés d’un adulte) Gratuit sous certaines conditions. Renseignements et inscriptions auprès du service des publics.
Parfait décrochage : Mieux qu’un vernissage, rendez-vous autour d’un verre pour le« Parfait décrochage » de l’exposition > sam 25 novembre à 18h

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BIENNALE NÉMO

Publié le 4 Novembre 2017 par Anaïs BERNARD dans evenement, festivals

BIENNALE NÉMO

⇢ 6 MOIS D’ÉVÉNEMENTS : DU 4 OCTOBRE 2017 AU 25 MARS 2018
⇢ 130 ÉVÉNEMENTS : CONCERTS, EXPOSITIONS, SPECTACLES / PERFORMANCES, RENCONTRES / CONFÉRENCES…
⇢ PLUS DE 190 ARTISTES
⇢ 50 LIEUX PARTENAIRES DANS TOUTE L’ÎLE-DE-FRANCE

Cette édition de 6 mois est un florilège de hasards heureux, d’accidents créatifs et de sérendipité ! Elle est entièrement dédiée au décloisonnement artistique, à l’hybridation des disciplines, aux esthétiques et ingénieries émergentes, aux rapports entre arts et sciences et aux nouvelles questions sociétales qui adviennent en cette époque technologique et ultra-connectée.

Elle est un rhizome, un « très long instantané » de l’état de l’art et un grand coup de projecteur sur toute une dynamique régionale autour des « arts numériques » et de leurs multiples impacts sur la culture dans son ensemble.

………………

La Région Île-de-France, territoire numérique s’il en est, propose six mois de foisonnement créatif avec la deuxième édition de la Biennale Némo.
Comme sa thématique l’indique, nul doute qu’elle sera faite de hasards heureux, d’accidents créatifs et de sérendipité partout ! Ce mot mystérieux, qui indique qu’en cherchant quelque chose, on trouve parfois autre chose de plus intéressant, est bien le symbole de toute une dynamique régionale autour de la création artistique à l’âge du numérique.
Nous avons voulu cet événement plus dense, plus partenarial et mieux réparti sur tout le territoire de l’Île-de-France : avec plus de 130 événements (expositions, spectacles/performances, concerts, rencontres et conférences…), Némo réunit une soixantaine de lieux franciliens différents et complémentaires, comme les territoires sur lesquels ils s’inscrivent, de Paris aux petite et grande couronnes, dans une complicité qui fait qu’aujourd’hui, cet événement majeur de l’Île-de-France est devenu la plus importante manifestation française dédiée à la création numérique, dont le rayonnement dépasse nos frontières.
La Biennale Némo est une manifestation vouée aux arts et à la création. Elle est le lieu du décloisonnement artistique, de l’hybridation des disciplines, du soutien aux esthétiques
et aux ingénieries émergentes, de la mise en valeur des relations entre arts et sciences, et de l’attention permanente aux questions sociétales qui sont au coeur de notre temps, celui des datas et de l’ultra-connexion.
Grâce à la coordination artistique et logistique d’Arcadi Île-de-France, et au professionnalisme de ses équipes, sont associés des théâtres, des lieux de culture numérique, des lieux de musiques actuelles, des galeries d’art, privées ou publiques, des lieux de recherche, et de très nombreux lieux atypiques et pluridisciplinaires.
La force de Némo, c’est aussi sa dimension internationale, et les partenariats qu’elle a su tisser avec l’Europe et le monde entier, à travers par exemple la plateforme SHAPE de diffusion des arts numériques soutenue par Europe Créative, ou encore les Saisons Croisées de l’Institut Français.
Nous vous invitons donc à participer à cette immersion dans la création artistique à l’heure du numérique, immersion à destination de tous les Franciliens, et vous donnons rendez-vous le 4 octobre prochain pour sa grande soirée inauguration.

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La Science de l’Art : La Culture du risqu

Publié le 2 Novembre 2017 par Anaïs BERNARD dans festivals

La Science de l’Art : La Culture du risqu

Notre association, le Collectif pour la culture en Essonne (CC91), est un réseau d’acteurs culturels (structures sociales, équipements culturels, collectivités territoriales, universités, centres d’enseignements artistiques et scientifiques…) qui oeuvrent ensemble pour favoriser
l’accès à la culture pour tous sur le territoire.
Du 4 novembre au 10 décembre 2017, nous vous proposons une quarantaine d’événements qui vous feront découvrir l’Art et la Science sous un jour nouveau.
En effet, cette 7ème édition de notre biennale La Science de l’Art sur le thème La « culture du risque » vous présentera 24 productions issues de regards croisés entre artistes et scientifiques venus de la France entière. Chacune de ces oeuvres sera accompagnée d’actions culturelles (ateliers, rencontres, débats, conférences...) afin de vous en offrir la meilleure compréhension et de vous faire rencontrer ses créateurs.
L’originalité du festival réside tant dans les rencontres et les créations transdisciplinaires qu’elle produit, que dans ses lieux de diffusion, venant à votre rencontre et s’inscrivant dans votre quotidien (écoles, universités, hôpitaux…) ainsi que dans de nombreuses structures culturelles
(médiathèques, MJC, musées, centres d’Art, cinémas…).


Du 4 novembre au 10 décembre 2017, vibrons ensemble au rythme de l’Art&Science

 

La culture du risque, c’est en première intention la gestion des risques naturels (tempêtes, tsunamis, incendies, crues centennales et autres catastrophes) sous toutes ses formes : prévention, information, prise en charge, restitution, rédemption… mais c’est aussi et surtout un des marqueurs sociaux les plus pointus de nos écosystèmes, qu’ils soient économiques ou écologiques. Or, selon les cultures locales, les chapelles ou les segments sociaux concernés, l’expression du risque revêt des formes totalement différentes, allant du déni ou de l’absence totale de sa prise en compte, à son utilisation outrancière dans des territoires où elle n’est pas attendue.
Et l’Art en est un. De Giordano Bruno à la destruction des œuvres d’arts monumentales en tant que symboles culturels par les radicalistes, de Guernica au projet de musée d’Hitler, des autodafés aux performances d’artistes qui affrontent les tabous de plein fouet et les publics hostiles, du risque du ridicule que prend le comédien au risque surréaliste pris par Dali dans Le chien andalou de Buñuel. Le risque de la culture est bien réel quand il est engagé et se commet au péril de sa vie (art circassien, poésie, littérature, bio-art). De nombreux penseurs ou philosophes l’identifient comme polysémique, confus et à la source de vraies catastrophes :  preuves en sont les dégâts causés par l’absence de culture du risque dans l’éducation, la dépendance, l’économie, les technologies ou la culture d’entreprise.
De la culture du risque au risque de la culture…

Si les expositions aux risques du quotidien, et à l’autre bout, aux risques extrêmes sont clairement envisagés, la dimension émergente des risques comme la pollution, le nucléaire, les OGM ou le changement climatique, bien que clairement diagnostiquée et omniprésente demeure sourde, à l’image de la pipe de Magritte. Les frontières entre risque acceptable et danger réel sont floues et tributaires de la survenance d’événements tragiques. Fukushima en est l’exemple typique où on nous décrit le Japon comme un « archipel de résilience » tant le risque sismique y est prégnant, fait partie de la culture japonaise comme l’opium fait partie des arts et des rituels de la tradition chinoise. Est-ce à dire que les japonais sont résilients comme d’autres cultures pourraient l’être lorsqu’elles sont empruntes d’une mémoire du risque ayant engendré des catastrophes naturelles, des holocaustes ou des destructions massives de
population?


Culture du risque rime donc avec diversité culturelle, risque identitaire et risque de globalisation ou de mondialisation de la culture. L’analyse des risques d’hyperculturation d’une part, (big data) et de transculturation d’autre part - lorsque l’Art et la Science s’autofécondent par exemple -, devrait donc être une priorité de nos géopoliticiens dans la mesure où l’homme augmenté prend des trajectoires transhumanistes qu’il faut relier, non pas à une acculturation, mais à une culture du risque comme prise à rebours. L’enjeu pour certains scientifiques supplante en effet le risque, au point qu’il est présenté comme anodin ou inéluctable…
La culture du risque comme leitmotive d’une société aveuglée par le progrès et la toute puissance de l’homme… Prendre le risque de la culture reviendrait alors à l’assumer dans sa transversalité et sa pleine diversité. 

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IMPACT, Festival des nouvelles technologies et des arts numériques

Publié le 20 Octobre 2017 par Anaïs BERNARD dans festivals

IMPACT, Festival des nouvelles technologies et des arts numériques

Du 3/11 au 21/11/2017  Théâtre de Liège 
Festival des nouvelles technologies et des arts numériques


À l’heure où la technologie et la culture digitale investissent tous les secteurs de la société et où l’art adopte de plus en plus leur utilisation, le Théâtre de Liège et ses neuf partenaires de l’Euregio Meuse-Rhin lancent IMPACT. Ce nouveau projet d’envergure s’est donné comme objectif principal de mettre sur pied le premier pôle euregional et transectoriel de coopération, de recherche et de développement, de production et de diffusion dans le champ des nouvelles technologies et des arts de la scène. Rassemblant chercheurs, artistes et entreprises issues du secteur des nouvelles technologies et des Industries Culturelles, son travail pointu s’échelonnera sur trois années.
Création, formation et diffusion en seront les maîtres mots. IMPACT vous dévoilera, en septembre prochain, la programmation complète de son premier festival, avec des projets portés par des artistes belges – fruits directs de la collaboration avec des entreprises locales – ainsi que des spectacles internationaux. Dès maintenant, deux noms vous sont dévoilés : le sublime 887 de l’acteur, auteur et cinéaste québécois Robert Lepage qui crée et porte à la scène une oeuvre originale bousculant, par l’utilisation de technologies de pointe, les standards en matière d’écriture scénique.
Des créations d’artistes visuels, performeurs, danseurs, chorégraphes, plasticiens et acteurs jalonnent ce passionnant temps fort, mais aussi des conférences, des démonstrations, des installations, des journées consacrées aux professionnels, des ateliers pour enfants qui se succèdent, pour s’achever, à Liège, en un formidable rendez-vous avec Cold Blood, le spectacle de Michèle Anne De Mey et Jaco Van Dormael. Ils nous kidnappent dans des mondes oniriques où les chorégraphies sont exécutées essentiellement avec les doigts.
Quand la science-fiction prend des allures de réalité.

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En chair et en son

Publié le 19 Octobre 2017 par Anaïs BERNARD dans spectacle, festivals, Ateliers

En chair et en son

Pour la 3ème édition des rencontres internationales Danse butô et musique acousmatique, l'événement a été organisé par Aventures Électroacoustiques, Motus, Le Cube, en partenariat avec l’Association Franco-Japonaise TENRI et l’Agence Fabian Fischer
Né au Japon dans les années 60, le butô est une danse subversive qui se caractérise par sa lenteur, sa poésie et son minimalisme. La musique acousmatique, genre musical permis par les techniques électroacoustiques, développe le sens de l’écoute, de l’imagination et de la perception mentale des sons par leur diffusion via des haut-parleurs. Danse butô et musique acousmatique procèdent d’un même désir de retour à l’essence des choses : la chair, le son, d’une même volonté de transgression des genres.

Pour sa 3ème édition, le festival En chair et en son investigue de nouvelles situations de création à travers de nouvelles rencontres inédites : placer le corps du danseur butô au cœur du dispositif de projection des sons numériques «acousmonium» et le confronter à cette musique de l’imaginaire qui ouvre de nouvelles voies de recherche et d’expression.

Avec :
Masaki Iwana, Moeno Wakamatsu ,Juju Alishina , Sylvia Hanff (Pologne), Tamara Pitzer (Allemagne), Dominique Starck, Marlène Joebstl (Autriche), Alyona Ageeva (Russie)…
Et :
David Fenech, Pierre Boeswillwald, Vincent Laubeuf, Bruno Capelle, Alexandre Bellenger

Suite à un appel à participation, 18 danseurs et compositeurs de plusieurs pays travaillent par binômes et présentent leur travail lors de ces 3 journées.

Jeudi 26 octobre
20h — 22h30 : ouverture du festival (session 1)

Vendredi 27 octobre
17h (session 2) et 20h (session 3)

Samedi 28 octobre
17h (session 4) et 20h (session 5)


Ateliers butô

Mercredi 26 octobre
de 14h à 16h
Atelier butô pour les jeunes de 8 à 13 ans animé par Elizabeth Damour
20€ par participant

Vendredi 27 octobre
de 14h à 16h : BUTOH OF THE PRIMORDIAL SPACE
Atelier butô ouvert à tous (en anglais) animé par Sylvia Hanff
20€ par participant

Samedi 28 octobre
de 13h à 16h : SILENCE
Atelier butô (ouvert à tous) animé par Maite Soler
30€ par participant (3h de stage)

Renseignements et inscriptions : contact@en-chair-et-en-son.fr

 

Tarifs :

Une session : 16 euros / réduit : 12 euros
Pass journée : 26 euros / réduit : 20 euros
Pass festival : 60 euros / réduit : 45 euros

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BAM Festival #4

Publié le 18 Octobre 2017 par Anaïs BERNARD dans festivals

BAM Festival #4

Le BAM a pour ambition de rendre les nouvelles technologies accessibles à tous. Actif depuis 2014, il s’est donné pour mission le développement, la production, et la diffusion des arts numériques à Liège. Entre des expositions inédites, des performances innovantes, des workshops à la pointe, le BAM propose une vision tangible totalement gratuite de l’actualité des arts numériques à travers le monde.
BE THERE !

Nous sommes heureux de vous inviter à la 4ème édition du Festival BAM qui se tiendra le week-end du 20-21 octobre à Liège. 

Une exposition originale, des performances innovantes à des ateliers de pointe, le Manège de la Caserne Fonck se transforme en plateforme d'explorations visuelles et d'expériences sonores avec des projets audacieux d'artistes de l'art / culture numérique contemporain. 

Et parce que notre vif souhait est de diffuser les arts numériques dans la ville et de rendre les nouvelles technologies accessibles à tous, il y a un accès total et gratuit pendant tout le festival! 

EXPOSITION

• Cinzia Campolese (CA) - Série Spéculaire_Focal Point • Olivier Ratsi (FR) - Perspicere • Benjamin Muzzin (CH) - Full Turn • Barthélemy Antoine-Loeff & Antoine Meissonnier (FR) - VAUS • Camille Scherrer (CH) - Dans les bois • Stéphane Francq (BE) ◢ A / V SPECTACLES • Michela Pelusio (IT) et Glenn Vervliet (BE) - SpaceTime Helix • Gauthier Keyaerts (BE) - Fragments • Stroon et Stix (SK) • Patrik Lechner (AT) nouvelle création • Hoaxident (EU) nouvelle création • AUTRES • Démonstration vidéo mapping • Pancake Bo

 

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Strasbourg Laboratoire de Demain / Atlas #1

Publié le 7 Octobre 2017 par Anaïs BERNARD dans festivals, evenement

Strasbourg Laboratoire de Demain / Atlas #1

" He best way to predict the future is to design it."
(Buckminster Fuller)

 

Le projet « Strasbourg, Laboratoire de Demain »  porte nos regards vers l’avenir à travers l’imaginaire de professionnels venus d’ici et d’ailleurs. Artistes, chercheurs, entrepreneurs, vous invitent à découvrir comment leurs projets naissent, grandissent, et se transforment en va-et-vient entre l’individu, ses interactions avec d’autres projets et protagonistes, ainsi qu’avec le contexte collectif, culturel, sociétal dans lequel il évolue. Alors que certains d’entre eux dessinent nos usages de demain, d’autres proposent une interprétation possible du monde à venir.

Fictif ou réel, le monde de Demain s’envisage au Shadok.

Ce projet est pensé en écho à l’exposition « Laboratoire d’Europe, Strasbourg 1880-1930 », portée par les Musées et l’Université de Strasbourg en partenariat avec les Médiathèques, qui aura lieu du 22 septembre 2017 au 25 février 2018. Avec le soutien de la Direction Régionale des Affaires Culturelles Grand Est. En partenariat avec l’EPCI – Observeur du Design, Ludus Académie et L’Elastique Relationelle.

Au programme: spectacles, expositions, rencontres, performances et concerts.

 

Demain s’envisage :
Atlas #1
Singularités plurielles : Appréhender demain à partir de regards multiples #transformation
Dates : du 10 octobre au 10 novembre 2017

Vernissage le 10 octobre 2017 à 18h. 

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La fabrication des corps au 21e siècle

Publié le 2 Octobre 2017 par Anaïs BERNARD dans festivals

La fabrication des corps au 21e siècle

Co-organisée par le Laboratoire Lorrain de Sciences Sociales de l’Université de Lorraine (2L2S) et par la société d’émulation du département des Vosges (SEV), la deuxième édition du Festival International de Sociologie (FISO) portera sur le corps et sera à découvrir 16 au 21 octobre 2017 à Epinal. Lieu de projection des normes et des valeurs façonnant une société dans une époque donnée, mais aussi, instrument par lequel être au monde et y agir, le corps constitue, en effet, un excellent analyseur du « social ».
Mais la question du corps est aussi affaire des citoyens : le « corps est politique » comme nous l’ont tôt enseigné les mouvements féministes et il est aujourd’hui l’objet d’une dynamique de re-politisation tout à fait particulière. D’un côté, il devient un critère d’accès à des droits sociaux ou politiques fondamentaux : procédures de mesure corporelle permettant d’apprécier l’âge, les états de santé psychique ou physique pour obtenir des prestations compensant la perte d’autonomie ou des droits dans les politiques migratoires contemporaines par exemple. De l’autre, il est aussi utilisé pour défendre des visions particulières de ce qu’est « l’humain » et de la manière dont il doit se (re)produire, se soigner, se réparer, s’améliorer ou mourir (cf. les débats sur les nouvelles technologies de reproduction, sur l’utilisation des nanotechnologies, sur la fin de vie, etc.). Ces débats superposent deux oppositions distinctes au cœur des réflexions que le FISO 2017 souhaite susciter :
d’une part, une opposition entre un corps « naturel » et des cultures qui l’altèreraient ou le bonifieraient (par l’alimentation, les amputations, les marquages, les formes de travail, les soins, le sport, etc.) et se trouveraient hiérarchisées selon les complétions ou altérations corporelles ainsi induites ; d’autre part, une opposition entre le « corps naturel » et des « technologies » censées priver les sociétés de « repères naturels ».

Le programme complet se trouve au lien ci-dessous.

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FNC EXPLORE 2017 - AU-DELÀ DE LA RÉALITÉ VIRTUELLE

Publié le 2 Octobre 2017 par Anaïs BERNARD dans festivals

FNC EXPLORE 2017 - AU-DELÀ DE LA RÉALITÉ VIRTUELLE

Faire un festival, c’est un peu comme faire du grand vin… Tous les ans, chaque millésime se distingue. C’est un travail d’équipe et de longue haleine. Lorsque les uns trient, sélectionnent et récoltent les meilleures grappes, les meilleurs fruits, les autres s’affairent sur le contenant et sur l’étiquette… Notre étiquette, cette année, a été réalisée par Ottoblix; elle symbolise la diversité de notre public et des plus de 383 oeuvres que nous présentons dans le cadre de notre 46e édition. Issu de plusieurs cuvées et de nombreux assemblages, ce millésime 2017 a beaucoup à offrir en termes d’innovation et de qualité. Comme le Festival du nouveau cinéma de Montréal est avant tout un lieu de partage et d’émotions à consommer sans modération, maintenant que le temps des vendanges est terminé, voici le temps de déguster.
Un grand merci va également à tous nos partenaires et organismes subventionneurs ainsi qu’à nos bénévoles et à toute l’équipe du FNC sans qui nous n’aurions pu concrétiser ce grand événement annuel automnal.
Bon festival !

NICOLAS GIRARD DELTRUC, Directeur général

Depuis sa création en 1971, le Festival du nouveau cinéma a toujours mis en avant les pratiques émergentes internationales liées à l’image et au son.

Pour leur 45e édition, le cinéma novateur prend une nouvelle dimension avec la création de la section FNC eXPlore, véritable laboratoire d’exploration sensorielle dédié aux dernières tendances technologiques et aux débats qui les entourent. Du 6 au 15 octobre, la SAT accueillera douze œuvres de réalité virtuelle qui repoussent encore plus loin les limites de nos perceptions sensorielles !

6 au 15 octobre
Entrée libre - 12h à 20h
2ème et 3ème étages

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I Love Transmedia 2017

Publié le 27 Septembre 2017 par Anaïs BERNARD dans festivals

I Love Transmedia 2017

Festival de la création numérique
du 5 au 8 octobre 2017
Le rendez-vous de la création numérique revient en 2017 !


Après le succès de l’édition 2016 qui a réuni plus de 7 400 visiteurs, I LOVE TRANSMEDIA revient du 5 au 8 octobre 2017 à la Gaîté Lyrique pour sa sixième édition. Le festival offre au grand public et aux professionnels une programmation riche et multiforme axée sur : une sélection officielle d’oeuvres de réalité virtuelle, une sélection de projets à destination du jeune public, les prototypes issus du TIU Lab, le laboratoire pédagogique (qui accompagne tout au long de l’année la réalisation de projets étudiants et dévoile les jeunes talents de la création numérique), la Nuit Blanche, marquée par une programmation musicale immersive, une projection de webséries et l’ouverture des expositions. Et, tout au long du festival, des débats et rencontres pour échanger autour de ces innovations qui bouleversent le secteur.

 

En accès libre, dans la limite des places disponibles.
En collaboration avec Transmedia Immersive University.

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