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Corps en Immersion

Une actualité dans les arts et les sciences à travers les corps pluriels.

Open Codes. Life in Digital Worlds

Publié le 12 Décembre 2017 par Anaïs BERNARD dans exposit

Open Codes. Life in Digital Worlds

COMPRENDRE LE MONDE DANS LEQUEL NOUS VIVONS. 
COMPRENDRE LE MONDE SUR LEQUEL NOUS VIVONS. 
COMPRENDRE LE MONDE QUE NOUS VIVONS.
 

Aujourd'hui, nous vivons dans un monde globalisé contrôlé et généré par des codes numériques. De la communication au transport (des personnes, des biens et des messages) tout est déterminé par les codes numériques. Les mathématiques et l'électronique ont donné naissance à un nouveau monde informatique conçu par des ingénieurs, des physiciens et des informaticiens.

Du code binaire de Leibniz au code Morse, du code cosmique au code génétique, nous vivons dans un monde de codes. L'exposition "Open Codes. Life in Digital Worlds ", qui regroupe des travaux artistiques et scientifiques, nous donne l'opportunité de comprendre ce monde. Dans un nouveau format d'exposition, l'exposition présentera l'art contemporain et la science et permettra un nouveau comportement des visiteurs. Ce sera un mélange de laboratoire et de salon, d'environnement d'apprentissage et de "Club Méditerranée" - avec entrée gratuite! Dans le musée - en tant que lieu de citoyenneté rémunérée - l'appropriation du savoir devrait être récompensée. Après tout, le véritable message de la transformation numérique est que le monde de demain passera d'une société de travail à une société de la connaissance.

Avec vous, chers visiteurs, nous voulons tester de nouveaux formats, peut-être inhabituels, d'éducation et d'apprentissage, et créer de nouvelles approches de la connaissance dans une atmosphère détendue et inspirante. La programmation, l'apprentissage avec des robots et d'autres nouvelles technologies devraient être accessibles à tous. Tout le monde devrait être capable de comprendre le «derrière» de notre monde numérique aujourd'hui.

L'exposition présente des œuvres d'art et des travaux scientifiques basés sur des codes analogiques et numériques. Ils essaient d'expliquer la dynamique complexe des codes et comment ils façonnent de plus en plus notre façon de vivre et notre vision du monde.

Avec nos visiteurs, nous voulons nous demander: voulons- nous comprendre le monde dans lequel nous vivons?

L'exposition est accompagnée d'un vaste programme de conférences, de débats, de colloques, d'ateliers et de projections de films. Au début de la période d'exposition, ZKM organisée avec l'euro l'Europe le vendredi 20 Octobre 2017, le 4ème Conseil de l'Europe Plate-forme d'échange sur l'événement Culture « et numérisation » sur le thème « Empowering la démocratie par la culture - Outils numériques pour les citoyens Culturellement compétentes ». Au cours de la conférence « souveraineté numérique » le jeudi 2 Novembre, 2017 représentants de haut rang de la science, des affaires et de la politique discuteront de la sensibilité des traces numériques dans la société d'aujourd'hui.

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Femme avec Tête(s)

Publié le 11 Décembre 2017 par Anaïs BERNARD dans conférence

Les jeudis de la Villa | 14 décembre
Art Club #20
Wilhelm Sasnal
Projection

Wilhelm Sasnal, qui a effectué sa formation à l’Ecole Polytechnique et à l’Académie des beaux-arts de Cracovie explore une grande variété de thèmes et de styles à travers ses peintures, ses photographies et ses vidéos. The Sun, The Sun blinded Me est une oeuvre cinématographique qui s’inspire de L’étranger d’Albert Camus. La projection du film à la Villa Médicis est l’occasion pour présenter la recherche de l’artiste et ses dernières actualités.
en collaboration avec Hauser & Wirth

 

19h
Femme avec Tête(s)
Rencontre avec ORLAN en collaboration avec le Musée d’Art Contemporain de Rome (MACRO)

ORLAN est l’une des artistes françaises vivantes les plus reconnues. Son oeuvre s’étend entre la sculpture, la photographie, la vidéo, la 3D, les jeux-vidéos, la réalité virtuelle et utilise également des techniques scientifiques et médicales comme la chirurgie et la biotechnique.
ORLAN aime modifier constamment et radicalement les normes, en déréglant les conventions et les « prêt-à-penser ». Elle s’oppose à toute forme de déterminisme naturel, social et politique, à la suprématie masculine, à la religion, à la ségrégation culturelle et au racisme. Son oeuvre provoquante et toujours teintée d’humour atteint parfois la parodie et le grotesque, et déconcerte par son envie de dépasser tout code prédéterminé. Elle a reçu en 2013 l’e-Reputation Award, prix qui la consacre comme l’artiste la plus suivie et commentée sur internet.

20h30
Danser avec une étoile de l’Opéra de Paris
Rencontre dansée avec Marie-Agnès Gillot

Après avoir débuté la danse à Caen, sa ville natale, Marie-Agnès Gillot entre à l’École de danse de l’Opéra national de Paris en 1985. Cinq ans plus tard, à l’âge de 15 ans, elle est admise avec dispense dans le Corps de ballet. Finaliste du 15e Concours international de danse de Varna en 1992, elle est nommée « Étoile » à l’issue de la représentation de Signes de Carolyn Carlson, le 18 mars 2004, première nommée sur un ballet contemporain. Ainsi, elle crée de petites pièces qu’elle présente à l’Opéra dans le cadre de soirées caritatives et se fait remarquer avec ses Rares Différences, qu’elle crée en 2007 pour une danseuse et deux danseurs de hip-hop lors du festival Suresnes Cités Danse. Avec ce ballet, qui se veut autobiographique, Marie- Agnès Gillot s’inspire de l’oeuvre de Rodin en sculptant la matière à même les danseurs. Elle crée également ART ÈRE, sur le Trio élégiaque de Sergueï Rachmaninov, pour le Junior Ballet classique du Conservatoire national supérieur de Musique et de Danse de Paris en 2009.
En octobre 2012, elle présente Sous Apparence, sa première création pour le Ballet de l’Opéra national de Paris.
Deux de ses oeuvres sont exposées au Palais de Tokyo. Elle crée TU ES dans le cadre de la Nuit Blanche 2016, un duo qu’elle a chorégraphié et dansé à partir des mouvements inspirés de son travail avec les prisonniers de la Maison centrale d’arrêt d’Arles.

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Immersion dans la féerie de Noël #2

Publié le 10 Décembre 2017 par Anaïs BERNARD dans son et lumière, calendrier

Immersion dans la féerie de Noël #2

Sélestat fait partie du Pays du Sapin, un des sept pays de Noël en Alsace. La ville au riche patrimoine architectural et historique est le berceau de l’arbre de Noël. C’est ici qu’au 16e siècle fut mentionné pour la première fois un sapin décoré pour Noël. Pendant l’Avent, le centre historique se pare de jolies illuminations et décorations. Un joli écrin pour le marché de Noël de Sélestat.

Noël à Sélestat : un amour de sapin
Un bourdonnement de ruche, les yeux des adultes et des enfants qui scintillent devant toutes ces lumières, les décorations dans les rues, le sapin à la maison et à la fenêtre du voisin : Noël s'est emparé de la ville. Si les fourmis regardent les cigales qui s'agitent à la dernière minute avec un brin de condescendance, le monde a bien besoin d'humanité, de solidarité, de paix et c’est bien ce qui fait durer Noël. Oui, Noël reste une fête de valeurs et de communion, une fête pour "vivre ensemble" dans un monde qui cultive trop souvent l'égoïsme et l'indifférence aux autres. Noël garde vivace l’espérance d’une humanité différente, à construire aujourd’hui ensemble : une humanité où enfin peut fleurir plus de fraternité, plus d’amitié, plus d’amour. Voilà pourquoi, je veux que Sélestat vive un Noël simple, familial fait de générosité et de bonheurs, et je m’associe à l’ensemble des équipes actives sur le terrain et en coulisse, pour
vous souhaiter à toutes et à tous, à vos enfants, à vos familles, à vos proches, le plus joyeux et le plus heureux des Noël.

 

Exposition: L'histoire de l'arbre de Noël et la plus ancienne mention écrite de 1521

Une exposition unique dans un cadre somptueux qui vous convie à un voyage au cœur de l’évolution des décorations du sapin de Noël. Suspendus sous les arcs de la nef de l’église Saint-Georges, dix sapins retracent les étapes les plus marquantes de l’évolution de la décoration de l’arbre de Noël, du 16e siècle à nos jours. Au fond de l'église, dans la crypte, vous pourrez voir le fac-similé de la mention de 1521, extraite du registre de comptes de la Ville de Sélestat. 

Ce registre mentionne qu'en l’an 1521, en date du 21 décembre, un paiement de 4 schillings a été versé aux gardes forestiers pour surveiller la forêt communale le jour de la SaintThomas, journée où l’on coupait traditionnellement les sapins pour décorer les intérieurs avant la fête de Noël. D’autres références plus récentes complètent cette mention.
25 novembre - 7 janvier
Tous les jours de 9h à 19h
(hors offices religieux). Accès libre

Mapping-vidéo: Projection monumentale Autour du sapin

Assistez à un merveilleux ballet d’images, de formes autour de l’arbre de Noël, ses décorations et créations originales. Cette projection monumentale a été imaginée par Julien Carlier et Robin
Fougeront, tous deux diplômés des Beaux-Arts, avec Arnaud Masson aux commandes de la projection. Un spectacle unique à voir en famille.
1er - 23 décembre
Tous les jours de 16h30 (tombée de la nuit) à 19h. Projection toutes les 10 minutes. Accès libre

 

Plein d'autres événements sont à découvrir!
 

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LÀ-HAUT LE CLOUD, ICI LE SOLEIL

Publié le 8 Décembre 2017 par Anaïs BERNARD dans evenement

LÀ-HAUT LE CLOUD, ICI LE SOLEIL

Après une longue période de résidence l’équipe de Là-Haut le Cloud, Ici le Soleil vous invite à sa première le vendredi 15 et le samedi 16 décembre  aux Subsistances à Lyon !

 

Là-Haut : création sur le thème de la solitude du citadin hyper-connecté.

/// AGIR en ESPACE PUBLIC

Là-haut le Cloud, ici le Soleil, est une intervention artistique en espace public, une joyeuse mystification scientifique, une vraie-fausse enquête techno-ethnologique, une fenêtre ouverte en pop-up dans le quotidien d’un lieu pour générer un courant d’air dans les représentations du numérique.
C’est une création en “infusion-diffusion”, qui mobilise avant de faire rêver. Elle s’écrit et résonne dans le lieu qui l’a invitée.

Elle se déroule en trois volets :

– Le déploiement d’une Zone de Fouilles Cybergraphiques – chantier ouvert au public, installation d’accélérateurs d’imaginaires, mobilisation d’habitants, relevés oniriques d’usages numériques, repérages et marquage physique de la ville.

– Une déambulation projetée sur les murs de la ville – c’est l’apparition de l’étranger, l’avatar, cet être né de nos identités en ligne, de l’autre côté de l’écran, qui descend de son nuage pour nous joindre sur le pavé.

– En guise de conclusion, c’est un diagnostic électro-sensible du territoire, une dimension art-science atypique, une cartographie analytique des pratiques numériques, un kit de survie pour les smart-habitants de nos smart-cities.

 

/// UNE FICTION pour SE METTRE en MOUVEMENT

A l’heure de la disruption décrite par Bernard Stiegler, ce projet réagit à la mutation des rapports sociaux dans un système qui paradoxalement, tout en démultipliant quantitativement des relations sociales, produit in fine de la solitude. Que cherchons-nous de l’autre côté de l’écran : un prestige social, une dose d’endorphines médiatiques, un aperçu du « Meilleurs des Mondes » ? Quelle qualité d’interactions attendons-nous, que notre environnement physique ne nous apporte pas déjà ?

Il s’agit d’ausculter la manière dont ce « sentiment de solitude du citadin hyper-connecté » – qui mêle individualisme moderne, repli sur soi et narcissisme numérique – transforme nos rapports à l’espace public et dans l’espace public, de questionner le rôle que nous pouvons y jouer, individuellement et collectivement.

 

/// GENESE et EXPERIMENTATIONS PREALABLES

Une version pilote a été proposée à travers une déambulation « dédiée » sur le quartier des Brosses à Villeurbanne, en octobre 2015 avec le Soutien du Fond d’Expérimentation pour la Jeunesse. Cette expérimentation a été récompensée par le Trophée EDF.

Vidéo de la première phase d’expérimentation, Avatar’s Riot – Octobre 2015

Vidéo de la première phase d’expérimentation, Avatar’s Riot – Octobre 2015

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Dateoria: Le retour du réel

Publié le 7 Décembre 2017 par Anaïs BERNARD dans exposit

Dateoria: Le retour du réel

Samedi, 09.09.2017 - Dim, 18.03.2018, ZKM_Lichthof 1 + 2
Frais: Admission au musée

Le néologisme "dateoria" combine les termes "date" et "sensoria" [sensorium] pour nommer un nouvel espace perceptif inhérent à l'ère de l'information. "Datumsoria: le retour du réel" est une version beaucoup plus étendue de l'exposition du même nom, précédemment exposée au Centre d'art Chronus à Shanghai. L'exposition est le résultat du programme de recherche « Art & Tech @ », qui a été conçu par ZHANG Ga et organisée et vise les défis d'une « structure de l'espace de temps » sur le plan technologique construit en renouant avec l'héritage précieux des expériences dans le centre d'art et de la technologie de le XXe siècle: une nouvelle réalité, les règles générales du jeu en termes de travail et de loisirs.


En coopération avec le Centre d'art Chronus, Shanghai, le ZKM | Karlsruhe et le Nam June Paik Art Center réunissent «Datesoria» dix œuvres hautement idiosyncratiques, apportant un éclairage nouveau sur les relations qui révèlent la logique du réel à l'ère de l'information. C'est une réalité basée sur des instructions binaires omniprésentes, une uniformité de uns et de zéros, dont l'universalité est dérivée d'un durcissement des contours et des formes, révélant des résidus sensibles et appelant au potentiel émotionnel. Dateoria signale que les politiques du réel ne sont plus dans le domaine des «corps et des lieux sociaux réels, reconnus sous la forme du sujet traumatisé et misérable», comme un sujet prédominant de l'expérience contemporaine et objet de l'enquête artistique. Cependant, l'exposition révèle également à qui appartient cette nouvelle réalité, composée de la matérialité des bits et des octets et de la puissance algorithmique du numérique.

Artistes:
Ralf Baecker, Laurent Grasso, George Legrady, Liu Xiaodong, Rafael Lozano-Hemmer, Carsten Nicolai, Nam Juin Paik, WANG Yuyang, YAN Lei et Zhang Peili.

ZKM | Karlsruhe
Ga ZHANG (conservateur)Bettina Korintenberg (chef de projet)
Organisation / Institution
ZKM | Karlsruhe

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Générateur net.art / discours générateur

Publié le 6 Décembre 2017 par Anaïs BERNARD dans conférence

Générateur net.art / discours générateur

Table ronde avec Cornelia Sollfrank, Winnie Soon, Morgane Stricot et Matthieu Vlaminck
Mercredi, 13.12.2017 18:00, durée: 3h, Staatliche Hochschule für Gestaltung Karlsruhe (HfG); Grand Studio Entrée
gratuite, aucune inscription requise


description
En octobre 2017, le programme commun de ZKM et HfG Karlsruhe Archivists in Residence est entré dans le troisième tour. Matthieu Vlaminck travaille sur le domaine encore jeune de la conservation et de l'archivage des objets numériques et des œuvres d'art. Dans sa résidence, il se concentre sur le traitement de logiciels propriétaires dans les œuvres d'art médiatique. Qu'est-ce que cela signifie pour le travail si le logiciel utilisé devient obsolète ou n'est plus entièrement accessible au public? Si elle est endommagée ou complètement inopérante? Et quelles sont les économies de données politiques qui jouent un rôle ici et peuvent être traitées de manière critique?

Au début de Matthieu Residency il aborde ces questions à l'espace public de ZKM Karlsruhe et HfG - basé sur un classique de manière nette dont ils sont virulents: cornelina Sollfrank « générateur net.art », une œuvre de 1999, de l'image et les informations textuelles génèrent des clusters d'images. Le travail, dont l'accès aux données est basé sur l'API Google, est limité par les modifications du système et les demandes de requêtes que Google pratique depuis des années. L'artiste a répondu à plusieurs reprises aux changements de l'algorithme de Google et a adapté son travail en cinq versions. Le "générateur net.art" ne présente pas seulement des problèmes techniques qui sont également pertinents pour d'autres travaux numériques. Il identifie également les problèmes liés à la politique de données et à son hégémonie. La discussion sur le podium aborde à la fois les contextes techniques et politico-économiques et tente de développer des stratégies et des tactiques pour le développement et le stockage fonctionnel des œuvres numériques. Pendant l'atelier, les premières idées seront testées expérimentalement, comme le piratage social ou le développement d'une toute nouvelle API. Ensemble avec l'artiste, nous voulons discuter comment les problèmes des logiciels propriétaires peuvent être résolus, pourquoi et dans leur existence et quelles implications politiques et théoriques de l'art sont derrière. Non seulement les programmeurs et les amateurs sont invités, mais aussi les artistes et les théoriciens de l'art - et bien sûr tous ceux qui sont intéressés.

Participera à une table ronde et un atelier Sollfrank et Matthieu Vlaminck et Winnie Bientôt , professeur adjoint au département des études de conception numérique et de l' information de l' Université d' Aarhus, et Stricot Morgane, restauratrice d'art des médias au ZKM.

Les étudiants du HfG et toutes les universités, théoriciens, artistes et parties intéressées sont cordialement invités à y participer.

Veuillez vous inscrire pour l'atelier à dirrgang@hfg-karlsruhe.de ;

Prérequis pour l'atelier : Les compétences de base en programmation sont souhaitables (mais pas d'exigences élevées); S'il vous plaît apporter votre propre ordinateur portable.

partenaires de coopération
HfG | Université d'Etat de Design de Karlsruhe

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Appel à projets Bright 2018

Publié le 5 Décembre 2017 par Anaïs BERNARD dans festivals, appel à projets

Appel à projets Bright 2018

Bright Brussels, Festival of Light est un événement organisé par visit.brussels, l’agence bruxelloise du tourisme, à l’initiative du Gouvernement de la Région de Bruxelles-Capitale. Il s’agit d’un événement lumière gratuit destiné aux Bruxellois et aux visiteurs belges et internationaux.  L’édition 2018 de Bright Brussels, Festival of Light aura lieu du 22 février au 25 février 2018. Les installations seront mises en service de 18h30 à 23h30 (cet horaire de mise en service est susceptible d’être modifié dans le cadre de la préparation de l’événement).
L’édition 2018 de Bright Brussels, Festival of Light sera le troisième événement lumière majeur organisé à Bruxelles après les festivals de 2013 et de 2017. Bright Brussels, Festival of Light devient désormais un rendez-vous annuel et nos ambitions sont grandes pour cette prochaine édition ainsi que celles qui suivront.


C’est pour ces différentes raisons que nous faisons appel à votre créativité. Tous les profils sont bienvenus : concepteurs lumière, architectes, designers et artistes de tous horizons mais, de manière générale, tous curieux qui souhaitent contribuer à l’élaboration de cet événement. Si l’idée est bonne, nous analyserons votre proposition en détail et celle-ci sera présentée au jury pour les délibérations. Les dossiers de candidature sont à remettre pour le dimanche 17 décembre 2017 à minuit.

 

Après une première vérification de la validité des projets remis , tous les projets seront présentés à un jury qui désignera les projets retenus pour chacun des lieux qui font l’objet de cet appel à projets. Notification des projets retenus pour le festival : au plus tard le vendredi 22 décembre 2017.


Pour cette édition, en plus du quartier du canal de Bruxelles, le parcours s’étend vers le cœur historique de la ville. Un des objectifs de cette édition est de faire (re)découvrir des quartiers de Bruxelles souvent oubliés mais qui méritent le détour. Les profils des différents lieux proposés sont particulièrement variés et devraient être une importante source d’inspiration pour vous, créateurs qui souhaitez participer à événement.
C’est par le biais de la lumière que ces lieux seront mis en valeur, et nous comptons sur vous pour soumettre vos projets les plus originaux

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IMAGES D'IMAGES

Publié le 4 Décembre 2017 par Anaïs BERNARD dans ouvrage

IMAGES D'IMAGES

Qu'en est-il des usages et des appropriations créatrices des images dans l'art contemporain, donc des images d'images ? Quand le faire prend l'air d'un refaire, nous rapportons-nous de la même manière aux œuvres, aux procédés de création, ainsi qu'à la photographie et à l'art lui-même ? Cet ouvrage propose d'étudier en quoi les images d'images renouvellent les problématiques concernant à la fois la conception, la diffusion et la réception des œuvres.

 

François Soulages, Bruno Zorzal (dirs), 2017, IMAGES D'IMAGES, Paris, L'Harmattan: Eidos Série Photographie, 204 pages, 20,50 euros.

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Les Fabriques des Histoires

Publié le 3 Décembre 2017 par Anaïs BERNARD dans appel a communications, Appel à communications

Carole Brandon, La Princesse et son Mac,  Master ®MIX n°113, PART-i 3

Carole Brandon, La Princesse et son Mac, Master ®MIX n°113, PART-i 3

APPEL À COMMUNICATION
TEXTE & IMAGE 5 : LES FABRIQUES DES HISTOIRES
Colloque Mardi 16 et mercredi 17 octobre 2018 / USMB / Chambéry Jacob-Bellecombette

Comment rendre visible l’environnement qui nous entoure et le corps qui nous ®-CONSTITUE ?+) Peut-être à travers quelque unes des nombreuses connexions qui le composent ?+) Mais peut-être également en nous donnant la possibilité d’en prendre conscience ?+) Comment expérimenter un savoir apprendre et savoir prendre le droit dans la figure de l’Autre l’obtention d’un consentement à SE ®-VOIR pour apprendre doucement à se visualiser — à apprendre à prendre une place — dans ce monde englobant et globalisé ou tout simplement à LE ®-VOIR, le décrypter pour se ®-CONNAÎTRE tout en risquant chaque fois un peu plus de se perdre ?+) Comment habiter, se ®-CONSTRUIRE une histoire dans l’histoire de l’Autre ?+) Comment la fiction, l’identité en réseau, les usages et les comportements que nous ®-PRODUISONS dans notre quotidien (- ! l’avatar, la mise en scène de soi, la fable ou la légende mais aussi la data visualisation !-) au jour du i (-! au jour d’une information dé-pliée simultanément sur plusieurs médias, tournant autour d’un JE surexposé !-) nous définit dans un champ des possibles, nous invente en i-RÉEL, c’est-à-dire dans un TOUT ®-LIÉ par l’information, mêlant constamment vivant et donnée numérique ?+) 

Prenons ainsi l’exemple du Désert de Retz. La formidable fascination que nous offre une promenade dans ce lieu hybride — à mi-chemin entre un jardin philosophique et un dispositif de livre augmenté livré grandeur nature et à ciel ouvert — nous propose d’abord un scénario, sur site, de références organisées en hyperliens et de signes opératoires . Ce paysage artificiel déployé devant nous, nous force à comprendre comment les différents points de vue que nous allons découvrir pas à pas, expérimenter, s’imbriquent et s’enchaînent pour construire une pensée cohérente, une vision entre rêve et expérience. Imaginé en 1774 par François Racine de Monville, à proximité des jardins de Versailles, il nécessite indubitablement d’être éprouvé sans a priori, sans schéma ou stratégie préalable. L’idée de perdre. Et se perdre. 

Alors quelle serait l’importance d’inventer des dispositifs, des lieux de perdition, de perdre un horizon, se perdre afin de se ®-TROUVER pour comprendre ce qui relèverait d’une actualité en réseaux ?+) Pourquoi ce Désert de Retz signalerait encore une actualité brûlante ?+) En évitant les questions liées au hasard objectif cher aux surréalistes, les chemins de l’information (utilisés aussi désormais comme matériau artistique), dessinent des Parkours complexes, des demeures numériques, des univers de JE-U au travers de labyrinthes phénoménologiques, peut-être à l’instar de cette fantasmagorie minérale et végétale. Car dans, devant toutes ces architextures émotionnelles — anciennes comme contemporaines — le CORPS S’AFFRONTE sans cesse À L’INFORMATION. Les raisons sont multiples. Tout d’abord, nous traversons continuellement des paysages en ruine, incomplets, des histoires sans fin. En effet, les relations systémiques que nous pouvons entrevoir à travers les paradigmes qui animent notre monde contemporain, ne nous laissent souvent que peu de chance d’avoir une vue d’ensemble. 

Pour se ®-METTRE doucement dans une situation critique, il faut emprunter peut-être le chemin de la fiction, s’attacher à la métaphore, plonger dans une histoire à ®-BONDS puisque nos points de vue sont nécessairement tronqués, mangés par différents accidents qui les actualisent. Soit par manque de visibilité, soit parce qu’ils donnent lieu à des dispositifs in/visibles qui — même lorsque nous avons affaire à des œuvres artistiques !+) — ne prennent pas ou peu en compte l’ensemble des éléments relationnels entrant dans la ®-COMPOSITION même de ces dispositifs. Des scénarios sont ainsi nécessaires entre TEXTE et IMAGE, entre ART et INFORMATION.

La question de la fabrique serait ainsi à prendre dans son double sens de fabriquer ; fabriquer des histoires, des échanges, des scénarios transcendants notre quotidien pour ®-ENCHANTER notre environnement, notre existence afin de stimuler nos interrogations et fabriquer un lieu de l’œuvre, le cadre d’un dispositif artistique comme architexture de liens dynamiques. Il poursuit, en ce sens le travail déjà engagé avec le colloque TEXTE & IMAGE 4 / Architexture Poétique & Humanisme Numérique qui s’est tenu à La Valette, en mars 2016. https://www.facebook.com/events/1830301813925976/ 

Colloque International organisé par les laboratoires LLSETI, CIEREC et PARAGRAPHE… 

Organisation :
— Vincent Ciciliato / CIEREC / UJM / Saint-Étienne
— Alexandre Matei / Université Ovidius / Constanța
— Richard Spiteri / Université de Malte
— Marc Veyrat / LLSETI / USMB / Chambéry

Comité scientifique
— Dominique Lagorgette / LLSETI / USMB / Chambéry
— Ghislaine Chabert / LLSETI / USMB / Chambéry
— Marc Veyrat / LLSETI / USMB / Chambéry
— Carole Brandon / LLSETI / USMB / Chambéry
— Danièle Méaux / CIEREC / UJM / Saint-Étienne
— Anolga Rodionoff / CIEREC / UJM / Saint-Étienne
— Vincent Ciciliato / CIEREC / UJM / Saint-Étienne
— Richard Spiteri / Université de Malte
— Alexandre Matei / Université Ovidius / Constanța
— Ghislaine Azémard / PARAGRAPHE / Université Paris 8
— Laure Leroy / PARAGRAPHE / Université Paris 8

Les contributions attendues exploreront différents aspects de cette problématique ouverte et de ses axes en élaborant leur réflexion à partir d’études précises, de dispositifs ou de démarches originales. Nous valoriserons les perspectives interdisciplinaires et intersectorielles. Nous attendons avant le lundi 26 février 2018 vos propositions de communications entre 150 et 200 mots maximum. Celles-ci seront accompagnées d’un bref CV. Merci de les renvoyer à imateriel@gmail.com

Lundi 30 avril 2018 : retour sur les propositions.
Lundi 03 septembre 2018 : rendu du texte définitif.

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Festival Nanterre Digital 2017

Publié le 2 Décembre 2017 par Anaïs BERNARD dans festivals

Festival Nanterre Digital 2017

FESTIVAL NANTERRE DIGITAL, l’édition 2017, c’est reparti ! 
du 6 au 9 décembre 2017 à l’Agora,
Maison des initiatives citoyennes
20, rue de Stalingrad, 92000 Nanterre. 

Télécharger le programme : 
http://www.nanterredigital.fr/wp-content/uploads/2017/11/Programme_Agora_dec_2017.pdf

Le Festival Nanterre Digital a pour vocation de proposer au plus grand nombre une incursion dans le monde du numérique. Différents rendez-vous entre les acteurs du réseau Nanterre Digital et les nanterriens se tiendront durant cette période.

MERCREDI 6 DÉC : Sur la piste des pionnières du numérique 
SOIRÉE DE LANCEMENT 18.30 !

Au cœur de la programmation : une installation visuelle et sonore à manipuler, une exposition conçue par les étudiants de l’université Paris-Nanterre, des débats sur la mixité numérique, des ateliers d’initiations au code et à la robotique, des démonstrations de réalité virtuelle, des chroniques radio, projection… etc.

Au fait : le saviez-vous ? Le premier codeur de l’histoire ÉTAIT une femme : Ada Lovelace (1815-1852) ! Et pourtant 2 siècle plus tard, on compte moins de 20% de femmes représentées dans le monde professionnel du numérique. Cette édition 2017 fait la part belle aux pionnières, et aux associations engagées pour la mixité numérique !

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