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Corps en Immersion

Une actualité dans les arts et les sciences à travers les corps pluriels.

exposit

EPHEMERAL ELECTRONICS

Publié le 27 Septembre 2014 par Anaïs BERNARD dans exposit, artiste

EPHEMERAL ELECTRONICS

Du samedi 27 septembre 14 au lundi 27 juillet 15
Le Cube, Paris.

Tarif : Entrée libre
Public : Tout public

 

Réalisée en collaboration avec l’agence de communication DawnMakers, Ephemeral Electronics est une campagne publicitaire d’anticipation. Développée à partir des publications de recherche du laboratoire d’Urbana-Champaign en Illinois (USA), Florian Sumi développe une imagerie destinée à colporter une technologie révolutionnaire : l’électronique biodégradable, biocompatible, à obsolescence programmable.

 

Composée exclusivement de soie cristallisée de la chenille Bombyx, de silicium et de magnésium, elle représente un potentiel inestimable face à l’urgence environnementale. Un potentiel dont l’artiste s’empare pour amorcer la mutation d’un monde. Communiquer, c’est faire considérer, rendre possible. Ce marketing technologique est une projection politique autant qu’esthétique.

 

FLORIAN SUMI

Né en 1984, Florian Sumi vit et travaille à Paris. Diplômé de l’école des Beaux Arts de Dijon sous la direction de Marc Camille Chaimowicz, il développe une pratique multimédias centrée sur l’objet comme réceptacle du monde. En résidence au Parc Saint Léger entre 2012 et 2013, il collabore avec les ébénistes d’art de Château Chinon pour la réalisation d’horlogeries. Il a récemment exposé à la PM galerie (Berlin), au Palais de Tokyo (Paris), à FavoriteGoods (Los Angeles), ainsi qu’au Frac des Pays de la Loire.

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C3RV34U,  L’EXPO NEUROLUDIQUE

Publié le 14 Septembre 2014 par Anaïs BERNARD dans exposit

C3RV34U,  L’EXPO NEUROLUDIQUE

Dans cette exposition où la scénographie inspirée du surréalisme joue sur l’irrationnel et le rêve, vous découvrirez de quoi est fait votre cerveau, comment il fonctionne, comment il est organisé pour la vie en société. Pour mieux comprendre les arcanes de cette machine à apprendre, vous testerez vos capacités cérébrales avec des expériences et des jeux mis au point par les chercheurs en neurosciences cognitives.

 

A partir du 16 septembre 2014, à La Cité des Sciences.

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Exposition de DANIEL FRANK

Publié le 13 Septembre 2014 par Anaïs BERNARD dans exposit, artiste

© Daniel Franke, Unamed

© Daniel Franke, Unamed

Du samedi 27 septembre 14 au samedi 10 janvier 15.
Espace Lounge, Le Cube, Paris.

 

Le Cube présente, dans son Espace Lounge, une sélection de vidéos réalisées par Daniel Franke, artiste, curator, directeur artistique de clips musicaux, et également fondateur du projet interdisciplinaire LEAP (Laboratoire pour les Arts numériques et la Performance), qui vise à initier le dialogue entre l’art, la science et la technologie.

 

Le travail de Daniel Franke remet en question notre compréhension du numérique, cherchant à présenter sa perception physique dans le champ de l’animation. Il transcende les pratiques classiques de l’animation en expression tangibles « du réel», factuelle et corporelles.

 

SÉLECTION VIDÉO

"Unnamed"
Comment créer une sculpture animée à partir des mouvements enregistrés d’une personne réelle ? C’est ce que présente cette vidéo à travers le travail subtil d’une danseuse.
-
De Daniel Franke et Cedric Kiefer / Production : Onformative, ChopChop / Musique : Machinefabriek “Kreukeltape”


"One minute Soundsculpture"
« Vous ne pourriez pas faire un clip vidéo plus réussi que l’interprétation de Daniel Franke du morceau One Minute de Ryoji Ikeda. Une fois que vous avez vu ce film, vous ne serez jamais en mesure d’écouter la piste à nouveau sans voir les images vidéo dans votre esprit. » Déclaration du jury, Oberhausen, 2011


"Ghost City"
Extrait du show visuel de Thomas Azier.


"Hylas"
Extrait du show visuel de Thomas Azier.


"Durchsehen Exp. 01" (Documentation)
La sculpture vidéo Durchsehen, Exp. 01 (perspective augmentée) remplace la notion commune de la perspective et joue avec sa signification classique dans l’histoire de l’art. L‘œuvre d’art échappe au regard du spectateur, ou plutôt, les deux sont ici égaux.
-
De Daniel Franke et Markus Kison.

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Quand l'objet fait place à l'expérience: The Clock de Christian Marclay

Publié le 9 Septembre 2014 par Anaïs BERNARD dans exposit

Quand l'objet fait place à l'expérience: The Clock de Christian Marclay

The Clock de Christian Marclay est une œuvre audiovisuelle d’une durée de 24 heures. Spectaculaire, hypnotique, son mécanisme cinématographique est réglé avec la précision d’une horloge et se métamorphose en machine à remonter le temps rythmant, minute par minute, un siècle de cinéma.

 

Christian Marclay y orchestre des milliers d’extraits de films, puisés dans toute l’histoire du cinéma pour composer cette mécanique qui indique l’heure en temps réel, dans chacun des lieux où elle est présentée. Des comédies en noir et blanc aux séries B, des films d’avant-garde aux films à suspens, tous rendent visible le temps qui passe à travers la succession des plans d’horloges, de réveils, d’alarmes, de montres, d’actions ou de dialogues illustrant cet implacable écoulement du temps.

 

Une histoire du cinéma, qui se confond avec notre histoire personnelle – notre horloge biologique – pour créer une mise en abyme vertigineuse où nous sommes, par le truchement du temps réel, les contemporains des acteurs de la fiction.


Les images scandent impitoyablement la force tyrannique du temps à travers les fragments de désirs, de frustrations, d’espoirs, de joies et de désespoirs qui se succèdent à l’écran. Le spectateur a alors l’impression d’assister à une fiction en temps réel.
Ce qui relève d’un coup d’œil furtif sur les horloges devient ici une exploration du temps et de la façon dont nous l’appréhendons.


Le son y joue sa propre partition. Christian Marclay l’utilise comme un liant, une symphonie de sonneries, tic-tac, pas, cris, rires, pleurs et musique. Les équivalents formels entre le temps et la musique deviennent sensibles et The Clock devient une œuvre musicale, nous rendant captifs de ses sonorités qui se confondent avec notre propre pulsation.

 

Christian Marclay a toujours utilisé le cinéma comme répertoire d’extraits à prélever. 
Sa pratique de l’emprunt, de l’échantillon, de la citation l’inscrit dans la filiation de Dada et de Marcel Duchamp et relève de la démarche émancipatrice de Fluxus tout autant que des stratégies du pop art ou de l’invitation du « Do It Yourself » punk.


Elle porte aussi l’empreinte du cinéma expérimental qui a fait de l’emprunt et du montage des composants essentiels des films indépendants. Christian Marclay pousse jusqu’à la virtuosité cette esthétique du fragment dans The Clock.

 

Cette œuvre a constitué l’un des événements de la 54ème Biennale de Venise, en 2011, où Christian Marclay s’est vu décerner le Lion d’or du meilleur artiste. 

 

The Clock, exposition pour tout public.

Du 4 juillet à 18h au 15 septembre 2014,
Présentation exceptionnelle en nocturne le 4 juillet, le 19 juillet, le 30 août et 13 septembre.

 

Centre Pompidou-Metz
1, parvis des Droits-de-l’Homme
CS 90490
57020 Metz Cedex 1
Tél : +33 (0)3 87 15 39 39

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Au-delà de l'invisible

Publié le 27 Août 2014 par Anaïs BERNARD dans exposit

Au-delà de l'invisible

Au-delà de l’invisible, Espace Kracjberg, Paris, exposition personnelle de l’artiste Naziha Mestaou du 18 septembre au 30 octobre 2014.

 

Le travail mené par Naziha Mestaoui depuis 2011 sur une création artistique reliant les cultures les plus contemporaines aux plus ancestrales est exposé cet été dans deux biennales d’Art Contemporain au Brésil et dans une exposition personnelle en France.

 

Naziha Mestaoui explique la démarche “Une série de voyages  prolongés au cœur des tribus (en Amazonie, Inde, Oman…) a donné naissance à la création d’œuvres au croisement des technologies les plus pointues et des savoirs ancestraux, remettant en question notre propre perception de la réalité. Nos technologies et nos sciences nous amènent vers un monde de plus en plus immatériel, à l’image de la physique quantique décrit une réalité dans laquelle tout est vibration, la lumière, le son, autant que la matière et la pensée sont différentes formes de vibration. Cette vision d’un monde ouvert sur un ou plusieurs niveaux de réalité nous rapproche du monde de l’avant-modernité. Cette perception de la réalité rejoint les sociétés ancestrales qui perçoivent les différentes facettes visibles et invisibles qui composent notre réalité. Un arbre dans ces sociétés n’est pas uniquement du bois, mais un organisme vivant avec lequel ils sont capables de communiquer, échanger, certaines espèces sont même considérées comme des bibliothèques. Les créations sur lesquelles je travaille sont une invitation à la découverte des multiples ponts tissés entre les sociétés les plus ancestrales et l’avenir de la nôtre, car elles ont le potentiel d’être une grande source d’inspiration. Elles ont la capacité de réenchanter notre réalité. L’objectif que je vise à travers ses créations est de reconnecter les hommes à la nature et d’éveiller les consciences.”

 

De retour en France, son exposition personnelle « Au-delà de l’invisible » démarre le 18 septembre à l’Espace Krajcberg à Paris.  Elle y présente différentes installations dont Sounds of light, ainsi que les dessins Huni Kuin, accompagnés de l’installation One Beat One Tree, qui associe la présentation d’une œuvre d’art numérique à une initiative de reforestation. Avec cette installation, le réel et le virtuel ne sont plus opposés mais associés au profit d’une véritable expérimentation. Le cœur de ce projet est d’utiliser les technologies pour reconnecter à la nature. C’est le battement de cœur de chaque spectateur qui donne naissance à un autre vivant, l’arbre, par le biais de technologies.

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La Biennale de l'U.M.A.M. - Mise en scène.

Publié le 18 Août 2014 par Anaïs BERNARD dans exposit, evenement

La Biennale de l'U.M.A.M. - Mise en scène.

Jusqu'au 22 novembre 2014, la Biennale de l'U.M.A.M. (Union Méditerranéenne pour l’Art Moderne) reprend possession du Château-Musée Grimaldi, avec le thème "MISES EN SCENES".

 

Cette association, fondée en 1946 par Henri Matisse et Pierre Bonnard, avait pour but de promouvoir la création méditerranéenne contemporaine en l’absence de musées sur la Côte d’Azur et avait ainsi créé un Musée d’Art Moderne au Château-Musée de Cagnes-sur-Mer en 1953, en encourageant les dons et dépôts d’artistes à la Ville.

 

Cette nouvelle biennale se veut essentiellement "méditerranéenne" avec des artistes venus de Grèce, Espagne, Turquie, Tunisie, Algérie, Maroc, Italie, Iran, Lybie, Syrie, Egypte, Istrie et France mais certains viennent de plus loin encore : Etats-Unis, Venezuela, Belgique, Viêt-Nam, Corée du Sud, Chine…

 

Le contraste entre le monument historique du Château Grimaldi et les œuvres contemporaines est déjà en lui-même une mise en scène.

 

"La mise en scène est la préparation d’événements  coordonnés avant leur accomplissement  effectif. La  mise en scène souligne  l'aspect d'un événement  qui n'est pas spontané. Elle attire l'attention sur les  pièces exceptionnelles  afin de faire vibrer le spectateur,  guider son parcours,  raconter une histoire, donner  du sens, matérialiser un espace... La mise en scène dans l'espace est aussi assez  proche de la mise en scène  de théâtre. Il y a toujours  les obsessions, les thèmes  de prédilection et la subjectivité du commissaire d’exposition..." Simone DIBO-COHEN, présidente de l'UMAM.

 

Lieu :

Château-Musée Grimaldi,
place du château,
Haut de Cagnes,
06800 Cagnes-sur-Mer.
Tél 04 92 02 47 30.

Ouverture: Tous les jours, sauf le mardi.
En juin et en septembre, de 10h à 12h et de 14h à 18h;
en juillet et en août, de 10h à 13h et de 14h à 18h;
en octobre et novembre, de 10h à 12h et de 14h à 17h.

Tarif : 4euros.

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Digital Visions

Publié le 11 Août 2014 par Anaïs BERNARD dans exposit

Digital Visions

Du 28 juin au 6 septembre, le service numérique GéoCulture – Le Limousin vu par les artistes s’exposera à la Bibliothèque francophone multimédia de Limoges (Bfm), quittant les réseaux pour investir l’espace réel, à travers des œuvres issues des collections de musées, centres d’art, bibliothèques... du Limousin, œuvres présentées sur GéoCulture.

Mais comment marquer notre attachement au numérique ? à la création artistique contemporaine ? De ce questionnement est né Digital Visions : proposer 15 œuvres numériques sur 15 lieux du Limousin par 15 artistes internationaux sélectionnés par l’artiste numérique et curateur Systaime A.K.A. Michaël Borras, créateur du SPAMM (Super Art Modern Museum).

 

Les 15 lieux retenus couvrent l’ensemble du Limousin, les trois départements, sont variés, associant paysages urbains, histoire, panoramas, patrimoine, art contemporain et lieux plus insolites et sont de manière générale déjà fortement représentés sur GéoCulture – Le Limousin vu par les artistes.

Les artistes ne connaissant le Limousin qu’à travers le prisme du Web, leurs créations offrent un regard neuf sur le territoire, une mise en abîme de ce que le Web en donne à voir, et proposent une expérience innovante, formelle, expérimentale, parfois onirique, toujours questionnante... et surprenante.

 

De l’URL à l’IRL

 

Dès le 27 juin et le vernissage de l’exposition GéoCulture – Le Limousin vu par les artistes à la Bfm, ces 15 œuvres numériques seront diffusées, via des canaux numériques tels le site digitalvisions.fr, la plateforme de vidéos Vimeo, partagés sur les réseaux sociaux...

Surtout, elles seront accessibles depuis une application pour smartphones innovante : au-delà d’un mode « Découverte », elle proposera un mode « Parcours » reposant sur le principe de réalité augmentée et qui invitera l’usager à se rendre sur le territoire, à visiter les 15 lieux et à en « scanner » un élément saillant pour déclencher la lecture des œuvres.

Durant la durée de l’exposition, un jeu-concours viendra récompenser le premier visiteur à avoir découvert les 15 lieux et œuvres associées (ou à défaut, celui à en avoir découvert le plus grand nombre).

 

Plus surprenant, l’art numérique investira le réel : les 15 œuvres numériques seront présentées au sein même de l’exposition GéoCulture – Le Limousin vu par les artistes à la Bfm, du 28 juin au 6 septembre 2014, à travers une scénographie immersive.

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Edinburgh Art Festival 4ème Edition

Publié le 6 Août 2014 par Anaïs BERNARD dans festivals, exposit

Edinburgh Art Festival 4ème Edition

2014 est encore notre meilleur festival line-up. C'est un plaisir d'être en mesure de dire que tant de confiance, pas moins que nos festivals dernières ont chacun - nous pensons - une évolution sur l'année précédente, et chaque grand succès dans leur propre droit.

C'est seulement notre quatrième édition du festival Edinburghart, du 31 juillet au 31 août 2014, dans notre troisième année dans le bâtiment Summerhall, et pourtant nous sommes déjà établir les thèmes - l'internationalisme, l'art de haute qualité à travers et entre toutes les formes d'arts, et un sens de la vie sociale, de la fête et de l'amitié - que nous valoriser comme essentiel au projet Summerhall.

 

En exposition, du 1er août au 26 septembre 2014, dans le cadre de ce festival, les œuvres notamment de :

  • Re-Sounding, de Susan Hiller.

Re-Sounding est une nouvelle œuvre d'origine américaine par l’artiste Susan Hiller qui est basée à Londres. Soucieuse de dénicher l'oublié ou refoulé, Hiller est l'une des artistes britanniques les plus influentes aujourd'hui. Cette nouvelle vidéo combine les fréquences sonores et des motifs visuels traduits des ondes radio émises par le Big Bang avec une série de témoignages de phénomènes extra-terrestres référencement cosmologie, les rêves et les expériences visionnaires contemporains. Parallèlement Re-Sounding sera exposé avec d'autres œuvres de l’artiste.

Susan Hiller, Resounding detail, Courtesy of the artist and Timothy Taylor Gallery, London

Susan Hiller, Resounding detail, Courtesy of the artist and Timothy Taylor Gallery, London

  • 10, 20, 30 et 40%, de Claude Closky.

A première vue, l'œuvre de Claude Closky est essentiellement immatériel. La langue est son modèle d'articuler des images, du texte, des chiffres, et des sons recueillis dans notre environnement, ou fait dans son atelier. Bien que réticents à produire des objets et des effets spectaculaires, le travail de Closky traite encore des questions sur la visibilité et l'appropriation de l'espace. Les projets de Claude Closky trouvent toujours d'autres moyens de s'émanciper des formats imposés par les sites où ils sont exposés. Il vise à souligner les contradictions de notre société contemporaine et de ses représentations, mais aussi à s'interroger sur le rôle de l'art en tant que producteur d'un consensus culturel et de valeurs. Ses œuvres se confrontent et s'interrogent sur notre environnement, les conditions et les avantages de la production artistique, sa relation avec le public.

Claude Closky, Going Around In Circles (Essex), 2013, interactive video installation

Claude Closky, Going Around In Circles (Essex), 2013, interactive video installation

  • Deluxx Fluxx Arcade, de Bast & FAILE

Doté jeux interactifs conçus pour Art Basel Miami Beach 2013, l’artiste Bast et collectif FAILE invitent les visiteurs de Deluxx Fluxx Arcade Edimbourg 2014 à faire un tour avec les jeux vidéo spécialement programmés, det flippers ou jouer une partie de baby-foot psychédélique. Cette installation marque le premier montant par les artistes écossais. Dans une deuxième exposition de grandes œuvres picturales (créés sur des planches d'impression mais remplis in situ à Summerhall) FAILE exposera un certain nombre de résumés colorés uniques pour la première fois dans le monde entier.

Pour plus d’info’ consulter le programme sur le site ci-dessous.

FAILE and Båst, FAILE Båst Deluxx Fluxx Arcade, 2013

FAILE and Båst, FAILE Båst Deluxx Fluxx Arcade, 2013

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21 balançoires, une instalation lumineuse.... et musicale.

Publié le 29 Juillet 2014 par Anaïs BERNARD dans artiste, exposit

21 balançoires, une instalation lumineuse.... et musicale.

Un exercice de coopération musicale.

21 Balançoires (21 Swings) est un instrument collectif géant, un jeu où, ensemble, nous obtenons de meilleures choses que séparément.

Cette installation d’art public basée à Montréal est une conception du collectif Daily Tous Les Jours, qui cherche de nouvelles façons d’interagir et de raconter des histoires à travers la participation, la conception et la technologie.

 

Lorsque ces balançoires sont en mouvement, chaque oscillation déclenche des notes différentes, et lorsqu'elles sont utilisées toutes ensemble, les fluctuations permettent de créer une composition musicale dans laquelle certaines mélodies émergent que par la coopération.

 

Avec Luc-Alain Giraldeau, professeur de comportement animal de l'Université du Québec à la Faculté des Sciences de Montréal, nous avons exploré le concept de coopération:

 

«La coopération émerge lorsque le comportement de chaque individu dépend des décisions du reste du groupe: c'est un jeu où, dès le début, vous devez régler les actions des autres."

 

Le résultat est un instrument collectif géant qui stimule l'appropriation de l'espace, rassemblant des personnes de tous âges et milieux, et de créer un lieu pour jouer et flâner dans le milieu du centre-ville.

 

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Destinations improbables à la Louvière

Publié le 27 Juillet 2014 par Anaïs BERNARD dans exposit

Destinations improbables à la Louvière

Exposition Destinations improbables,

Du 21 juin au 31 août 2014,

Musée Lanchelevici, Place Communale- 7100La Louvière – Belgique

 

Exposition et parcours d’art en ville autour de la thématique des Voyages. Destinations improbables convoque l’idée du déplacement -réel ou fictif- des déambulations terrestres, maritimes ou spatiales. Des explorations vagabondes aux voyages imaginaires de quelques visionnaires, les images suscitées laissent la part belle au rêve.

 

Les travaux d’une vingtaine de plasticiens nourrissent le propos à travers divers médiums: peinture, sculpture, installation, photographie, vidéo, ….

Avec : Francis ALYS (B), Cyrille ANDRÉ (F), Armelle BLARY (F), Jéremie BOYARD (B) ; Bruno CATALANO (F), Maurizio CATTELAN (I), Bénédicte DERAMAUX (F), Nicolas DESPLATS (F), Julien DISCRIT (F), Antonine GOUGEAU (B), Laura HENNO (F), Carsten HÖLLER (B), Sebastien LAURENT (B), Mona MARCHETTI (B), Adrian PACI (Alb) ; Bruno PEINADO (F), Ben RUSSELL (USA), André STAS (B), Agnes VARDA (B).

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