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Corps en Immersion

Une actualité dans les arts et les sciences à travers les corps pluriels.

performance

Digital Ethereal, un projet de Luis Herman.

Publié le 3 Août 2014 par Anaïs BERNARD dans artiste, performance

Digital Ethereal, un projet de Luis Herman.

Digital Ethereal est un projet né comme un discours de conception sur les technologies numériques et l'infrastructure invisible sous-tendent. L’artiste et photographe Luis Herman crois que notre interaction avec ce paysage de signaux électromagnétiques décrits par Antony Dunne espace hertzien, peut être caractérisée dans les mêmes termes que ceux des fantômes et des spectres. Ils sont tous deux des entités paradoxales, dont la substance atypique leur permet d'être perçues comme une présence invisible. De la même manière, ils subissent un processus de justification progressive de devenir temporairement à la disposition de la perception. Enfin, ils nous hantent tous les deux. Espace hertzien, avec la frustration de l'ingérence et de la lenteur.

Mais ce sont ces mêmes traits de l'espace hertzien qui offre la possibilité d'une interaction dans l'espace informationnel sous forme de message, d’image, qui ressemblent plus étroitement à l'interaction avec l’espace architectural.

Le défi réside dans la manière de concevoir des systèmes qui sont fondamentalement invisible. Ils peuvent être "traduits" et évoluer avec leur propre modalité dans celle du monde tangible. Ce changement de modalité est toujours entremêlé à la notion de culture, ce qui change la nature de l'espace hertzien.

Afin de profiter de l'espace hertzien, l’artiste plaide pour une pratique créative visant à créer de nouveaux objets, indexés sur l'espace hertzien, mais qui prend aussi en compte la complexité culturelle et sociale imprégnée dans l'utilisation de ces technologies. C’est pourquoi il a nommé cette nouvelle série d'objets Digital Ethereal.

Digital Ethereal, un projet de Luis Herman.

Son travail hybride mélange différentes disciplines et technologies allant de la performance à l’installation, en passant par des phases de programmation et d’électronique.

 

The secret body of wireless était une exposition qui s'est tenue à l'École d'architecture de l'Université de Newcastle. Cette installation explore les différentes qualités de l'espace hertzien, compris comme le paysage de signaux électromagnétiques dispersés dans l'espace physique et qui fonctionne comme un milieu porteur pour nos protocoles tels que les transferts numériques via les réseaux Wi-Fi, réseaux cellulaires, Bluetooth, GPS, NFC.

Le travail présenté crée un récit basé sur l'idée de l'espace hertzien comme assimilée à des spectres, fantômes et revenants. L’espace hertzien possède un caractère paradoxal, étant une réalité physique qui ne peut être directement perçu. De plus, il se déplace dans et hors de la perception humaine, et fonctionne sur un modèle d'évolution des densités qui est mis en évidence par l'utilisation d'un artefact numérique médiateur.

L'exposition explore trois niveaux d'interaction avec l'espace hertzien. Le premier, l'Esprit Photographies, représente une interaction très médiatisée, où l'espace hertzien est perçu à une distance à travers une interprétation technique et performative. Le lustre, l'installation, avec la pendaison appareils Androïd, permet aux visiteurs de comprendre en temps réel comment leurs mouvements et les gestes affectent et façonnent l'espace hertzien. Dans le troisième niveau, l'application sur Google Glass permet une expérience directe de l'évolution des qualités de l'espace hertzien que les gens le traversent.

Digital Ethereal, un projet de Luis Herman.

La série Spirit photographs—Wireless spectre est une exploration performative et photographique de l'espace hertzien.

Les images résultent de la description de l'espace à travers une performance avec l'appareil Kirlian, qui transforme la force du signal en couleur lumineuse (rouges pour la haute intensité, bleus pour faible intensité). Couplé avec une longue exposition à la photographie, il est possible d'enregistrer l'évolution des qualités des réseaux sans.

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Performance: TRIANGLES IRASCIBLES / YRO ET ERWAN RAGUENES

Publié le 16 Juin 2014 par Anaïs BERNARD dans performance

Performance: TRIANGLES IRASCIBLES / YRO ET ERWAN RAGUENES

Le vendredi 13 juin 2014,

à 20h30.
Tarif : Entrée libre dans la limite des places disponibles
Public : Tout public
 
Performance audiovisuelle / Sortie de résidence
 

Un appartement, des rues, une ville, un train, une banlieue ; des espaces urbains qui défilent, s’arrêtent et repartent, pénétrés par l’apparition d’une foret énigmatique où sont rejoués des fragments du passé : un visage, des arbres coupés, un feu, des portraits de famille, un geste inquiétant, des branchages entremêlés. Ce voyage à la fois physique et mental est le parcours qu’un homme doit arpenter pour rejoindre la maison où il a grandi. Les paysages traversés se fixent, se déforment et s’engouffrent dans les troubles et les variations de sa mémoire. On explore avec lui cette frange de l’imaginaire où le souvenir et le présent se croisent.

Triangles Irascibles est une expérience cinématographique singulière. Seul sur scène, Yro crée l’intégralité de ce film en direct, grâce au maniement de photographies devant des caméras connectées à un logiciel qu’il a programmé. Quelles soient originales ou issues d’archives familiales, ces photographies sont rejouées et par la manipulation deviennent fragiles, lointaines, intimes… La performance est portée par une musique originale composée par Erwan Raguenes, Yro interprète également au moyen de divers instruments et bruitages, une partie de la bande son sur scène. Hanté par une synesthésie, où chaque son se transpose en pensée géométrique, Yro explore dans ce nouveau projet, son rapport à la famille et à la mort.

Triangles Irascibles est une co-production :
Avoka, La Grange à Musique/ Ville de Creil, La région Picardie, La ville de Rennes, le Volume & Le Cube.

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Hakanaï + Bionic Orchestra 2.0

Publié le 9 Juin 2014 par Anaïs BERNARD dans evenement, performance, artiste

Hakanaï + Bionic Orchestra 2.0

Jeudi 12 juin, à 20h,
Salle Maxi, Stereolux, Nantes.

 

Cette soirée singulière présente deux performances au milieu du public, deux dispositifs ou l’artiste dialogue, par la voix ou le mouvement, avec l’espace, les spectateurs, la musique et lavidéo, une nouvelle forme de poésie numérique.

 

 

HAKANAÏAdrien M / Claire B

Hakanaï est une performance chorégraphique pour une danseuse évoluant dans un volume d’images en mouvement. Dans la langue japonaise, Hakanaï définit ce qui est impermanent, fragile, évanescent, transitoire, entre le rêve et la réalité. Mot très ancien, il évoque une matière insaisissable associée à la condition humaine et à sa précarité, mais associée aussi à la nature. Il s’écrit en conjuguant deux éléments, celui qui désigne l’homme et celui qui désigne le songe. Ce collage symbolique est le point de départ de cette partition pour une danseuse rencontrant des images, faisant naître un espace situé à la frange de l’imaginaire et du réel. Les images sont animées en direct, selon des modèles physiques de mouvement, au rythme d’une création sonore également interprétée en direct. À l’issue du temps de performance, l’installation numérique est ouverte aux spectateurs.

 

BIONIC ORCHESTRA 2.0 - EZRA

Le Bionic Orchestra 2.0 raconte sa propre histoire, celle du rapport passionnel qu’entretient l’humain avec la machine. Par de simples mouvements de la main, EZRA pilote la démultiplication de sa voix et la circulation du son et de la lumière dans l’espace à l’aide d’un gant interactif développé sur mesure en collaboration avec la Cie Organic Orchestra et l’Atelier Arts-Sciences de Grenoble. Au travers du beatbox «augmenté», il interroge ce que nous sommes dans un environnement transformé par le biais des technologies. Sa démarche non verbale devient le terrain de jeu des sens, une recherche nouvelle sur le contrôle par le geste et sur la sensibilité du mouvement. 

 

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OLIVER BEER

Publié le 28 Mai 2014 par Anaïs BERNARD dans exposit, performance, artiste

Oliver Beer, Composition for Hearing an Architectural Space, 2013.  Courtesy Galerie Thaddaeus Ropac, Paris-Salzbourg  © Oliver Beer

Oliver Beer, Composition for Hearing an Architectural Space, 2013. Courtesy Galerie Thaddaeus Ropac, Paris-Salzbourg © Oliver Beer

5 JUIN - 17 AOÛT 2014

Vernissage mercredi 4 juin 2014 

 

Né en 1985 au Royaume-Uni, Oliver Beer est diplômé de l’Academy of Contemporary Music et de la Ruskin School of Drawing and Fine Art de l’Université d’Oxford. Sa personnalité et son parcours l’ont amené à s’intéresser très tôt à la relation qui existe entre le son et l’espace, en particulier à travers la voix et l’architecture. Ses recherches se traduisent par des performances fascinantes auxquelles le spectateur participe par sa seule présence, ainsi que des sculptures et des vidéos qui incarnent l’expression plastique, littérale ou métaphorique de cette subtile relation et de l’expérience qu’en fait le corps humain.

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FANTASTICITÉ 3

Publié le 19 Mai 2014 par Anaïs BERNARD dans performance, exposit

FANTASTICITÉ 3
MER 21 MAI > DIM 02 NOV

 

Venez créer une installation sur la ville de demain!

 

Construisez à nouveau la ville de demain à la Gare Saint Sauveur, au cœur du Halle B. Comme base, un immense socle vert qui sert de fondations. À vous de venir y monter les premières maisons, rues et autres gratte-ciel...

Avec le soutien de LEGO
FANTASTICITÉ 3
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danse numérique: DOUBLE JACK / THIERRY MICOUIN

Publié le 9 Mai 2014 par Anaïs BERNARD dans performance, artiste

danse numérique: DOUBLE JACK / THIERRY MICOUIN

Le vendredi 16 mai 2014,

à 20h30.
Tarif : 5€ / Gratuit avec Pass Cube
Public : Tout public.
 
 

Troisième volet d’un triptyque initié par un solo sur le trouble de la construction identitaire,Double Jack lance un défi aux interprètes : comment, en dépit de l’appartenance au genre, se ré-incorporer dans une gestuelle d’homme inscrite dans les clichés de la puissance autant que dans ses failles.

Sur le plateau, une installation sonore interactive composée de cinq guitares électriques réagit instantanément aux mouvements du danseur. Ils deviennent chefs d'une armée de cordes électriques et déclenchent par leurs mouvements des boucles musicales qui se déplacent progressivement au sein de l'espace scénique. La composition s'appuie sur une base de trois accords empruntés aux standards d’écriture musicale rock'n'roll, qui se configurent comme un écho au geste dansé.

Conception : Thierry Micouin 
Chorégraphie : Thierry Micouin avec l’aide de Carole Gomes 
Interprétation: Carole Gomes et Thierry Micouin 
Musique/dispositif interactif : Pauline Boyer 
Lumière : Erik Houllier 
Conseiller artistique : Youness Anzane 
Avec l’aide de Christophe Van Huffel pour la musique

Durée 50 min / Production : Association T.M. Project
Coproduction : Le Triangle – Rennes ; Le Cube, Centre de création numérique – Issy-les-Moulineaux ; Centre Chorégraphique National de Roubaix.
Avec le soutien de : DICRéAM ; Ministère de la Culture et de la Communication (DRAC Bretagne) ; Région Bretagne ; Ville de Rennes ; Ménagerie de verre - studio lab (Paris) ;Musée de la danse – CCNRB (Rennes) ; Spectacle vivant en Bretagne; CENTQUATRE-Paris et C.N.D pour le prêt de studio ; CLEODE pour le soutien à l’équipement matériel.

 

THIERRY MICOUIN

Après des études de médecine, Thierry Micouin se forme à la danse et est interprète pour Philippe Minyana, Karine Saporta, Félix Ruckert, Mié Coquempot, Jesus Hidalgo, Valérie Onnis et Osman Khelili.

En 2002, il rejoint la compagnie de Catherine Diverrès et n’a cessé depuis de collaborer avec elle, en tant que danseur mais aussi vidéaste sur ses projets. Il est également interprète dans les projets de Boris Charmatz depuis 2009 et d’Olivier Dubois depuis 2012.

En 2006, il créé un premier solo W.H.O., autofiction qui évoque le parcours de sa propre construction identitaire adolescente. Cette pièce, qui aborde aussi la question du travestissement, de genre, de sexualité, est le premier volet d’un triptyque sur les questions de genre et d’identité masculine.

En 2009, il est lauréat du programme CulturesFrance Hors les murs (Villa Médicis) pour un projet de recherche à New York autour de l’escorting. Il y rencontre, sur le mode de l’interview filmée, dix escorts et créé à son retour une pièce chorégraphique et une installation vidéo avec ces matériaux. Ce projet à double facette, intitulé Men at work, Go Slow ! est le deuxième volet du triptyque initié avec W.H.O. en 2006, le troisième étant le projet Double Jack.

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#LeClairObscur au Festival Étrange Cargo 2014

Publié le 21 Mars 2014 par Anaïs BERNARD dans exposit, performance, théâtre, festivals, evenement, artiste

#LeClairObscur au Festival Étrange Cargo 2014

Le collectif #LeClairObscur de Frédéric Deslias s’attache à explorer les problématiques liées à la question des rapports Homme-Machine et réfléchit plus particulièrement à la façon dont l’homme, sa pensée, son organisation sociale, ses modes d’interaction sont modifiés par l’informatique et Internet.
Le projet “@” est une recherche de plusieurs années qui se décline en plusieurs formes : spectacles audiovisuels, danse/arts numériques, installations, workshop, etc. 
Après le premier opus @1 Prolog, créé dans le cadre du festival Étrange Cargo en 2011, le collectif revient à la Ménagerie de Verre (Paris) pour réunir en diptyque ses deux dernières créations.
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Les 25, 26, 27, 28, 29 Mars 2014, à 22h.

@.2: Sleeping Beauty
à partir de 19h30
Installation / Performance

Sandra SleepingBeauty, telle une Belle au Bois Dormant du web 2.0, nous livre son corps dans un cercueil de verre. La captation de ses données neurologiques et biologiques médiatise toute son activité intime autour de nous: ses émotions sont interprétées en direct par une machine synesthésique qui vit et bat avec elle.
Aucun contact direct ne permet de dialoguer avec elle. Les échanges sont médiatisés par le réseau via l’un de nos outils quotidiens: Facebook©. Les messages publiés sur le mur de Sandra SleepinBeauty sont retranscrits à Sandra via une voix synthétique. La machine scanne en retour son corps pour publier en réponse son état émotionnel.

@.3: Puppets 
Création-adaptation pour la Ménagerie de Verre
à 20h30
Performance / Arts Numériques

Dans Puppets, les corps de deux danseurs, allongés au coeur d’une interface numérique, se livrent à une étrange expérience d’abandon : Laisser leurs membres dans un état de souplesse absolu, pour être contrôlés par la machine... Progressivement à force d’impulsions et de modulations, un voyage s’amorce, puis ces corps se lèvent et commencent à marcher...
Réadaptée spécifiquement pour la salle du OFF de la Ménagerie de verre, la création dans sa forme finale aura lieu le 20 juin 2014 au festival Les Bains Numériques du Centre des Arts d’Enghien-les-Bains.
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Réservations au 01 43 38 33 44 
du lundi au vendredi de 10h à 18h
reservations@menagerie-de-verre.org
plein tarif: 15€ // tarif réduit: 13€
tarif adhérents ou partenaires: 7€ // Pass à 30€ ou à 60€

@2: Sleeping Beauty

@3: Puppets

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ROBOT! au CDA

Publié le 10 Mars 2014 par Anaïs BERNARD dans evenement, performance

ROBOT! au CDA

COMPAGNIE BLANCA LI

ROBOT!

  • Danse

Samedi 22 Mars 2014

20H30

Exploration dansée des rapports entre l’humain et la machine.


Sur un ton décalé et avec une énergie sans pareil, Blanca Li, chorégraphe touche-à-tout, s’est lancé dans l’aventure robotique. Cherchant à explorer la relation complexe de l’Homme à la machine, elle a rencontré le collectif japonais inventif Maywa Denki qui crée avec humour et poésie des objets sonores animés, mêlant technologie, folie et raffinement dans une esthétique rétro-futuriste. Des objets artisanaux que l’on retrouvera sur scène et qui donneront le ton de la pièce, et la réplique aux robots NAO, célèbres petites machines humanoïdes françaises qui ont déjà foulé le sol Enghiennois lors du dernier festival Bains numériques.
NAO, un interprète à part entière pour Blanca Li ? Qu’en est-il des « vrais » danseurs ?
« NAO, le robot humanoïde, ainsi que Maywa Denki, m’ont donné envie de mettre en scène les rapports des corps et des machines en les scénarisant pour explorer les limites de ces relations.

Une machine même évoluée peut-elle remplacer le rapport au vivant ? Nos répliques robotiques exprimeront-elles un jour des sentiments, en plus de gérer notre quotidien ? Si les robots s’humanisent en prenant notre apparence, deviendrons-nous robotisés, hybrides, androïdes ? » Blanca Li, avril 2012.

Autant de questions qui informent une chorégraphie pour 8 danseurs dont les mouvements feront écho aux instruments de musique loufoques de Maywa Denki. L’incursion de quelques NAO dans le spectacle, loin d’être
une anecdote, questionne de manière sensible et émotionnelle l’interchangeabilité des hommes et des machines.
Hommes machines, automates électromécaniques, robot électronique : trois formes de rapport au monde, trois stades de l’évolution ? Trois propositions pour l’exploration de leurs interactions sur un mode cocasse et poétique.

La compagnie Blanca Li a bénéficié d’un accueil en résidence au CDA pour cette pièce.
1h10

12-16 rue de la Libération - 95880 Enghien-les-Bains
www.cda95.fr / accueilcda@cdarts.enghien95.fr
T. 01 30 10 85 59 / F. 01 30 10 88 99

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Watherwheel - Journée mondiale de l'eau. Symposium 2014.

Publié le 10 Mars 2014 par Anaïs BERNARD dans conférence, performance

Watherwheel - Journée mondiale de l'eau. Symposium 2014.
Semaine du 17 au 22 mars,
Points-de-vue sur l'eau, préoccupations et défis.
En live sur le web & dans 18 nodes.


+200 scientifiques, artistes, activistes et jeunes de 5 continents, présentent et interagissent avec le public en ligne et dans les 18 nodes en Allemagne, Argentine, Australie, Colombie, France, Grèce, Israël, Maroc, Nouvelle Zélande, Pologne, USA, Taiwan et Tunisie.

Débats, performances et échanges sont au rendez-vous.
 
Tout le programme au lien ci-dessous.
Plus d'informations sur le site.
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DAYDREAM

Publié le 7 Mars 2014 par Anaïs BERNARD dans performance, exposit

DAYDREAM
DAYDREAMNONOTAK
Du 13/03 au 13/06

12h30

Lieu du spectacle : Plateforme Intermedia
Détail horaire : 

Du lundi au vendredi de 12h30 à 18h30 (et les soirs de concert)

Organisateur : 

Stereolux

 
Type : Exposition
Tags : Arts-Numériques, Performance

Entrée libre

 

 

DAYDREAM / NONOTAK (FR)

Dernière création du studio Nonotak, Daydream poursuit l’exploration de l’espace, du temps et de la vidéo conçue comme une matière géométrique et lumineuse. Les deux auteurs (et cofondateurs du studio), l’illustratrice Noemi Schipfer et l'architecte et musicien Takami Nakamoto, travaillent de multiples formes jouant sur l’espace, la spatialisation sonore et visuelle et l’immersion dans des architectures mouvantes et minimales.

 

Alternant distorsions, symétries, éclats, accélérations et impacts sonores, leur dernière pièce, Daydream V2, figure une métamorphose de lignes et de volumes. La succession d’écrans translucides fige la vidéo en créant une perspective hypnotique, plongeant le spectateur dans une contemplation ultime, infinie.

 

 

Vernissage le jeudi 13 mars à 18h30 avec la performance Late Speculation.

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