" Ainsi donc, le monde virtuel tend à produire une expérience d'immersion envahissante et persuasive, mais en même temps consciente de son statut ontologique particulier: il apparaît comme une simulation tendancielle, et non comme une reproduction parfaite. Et c'est selon moi cette limite, ce vide et ce manque qui ouvre les possibilités artistiques importantes de la virtualisation de l'imaginaire."
Roberto Diodato, 2011, Esthétique du virtuel, Librairie Philosophique J. VRIN, 17.00 euros.