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Corps en Immersion

Une actualité dans les arts et les sciences à travers les corps pluriels.

#FUTURSPLURIELS – LES IMAGINAIRES TRANSHUMANISTES

Publié le 8 Septembre 2018 par Anaïs BERNARD dans conférence

#FUTURSPLURIELS – LES IMAGINAIRES TRANSHUMANISTES

Les conférences #futurspluriels continuent en 2018 !

« Serait-il absurde, maintenant, de supposer que ce perfectionnement de l’espèce humaine doit être regardé comme susceptible d’un progrès indéfini, qu’il doit arriver un temps où la mort ne serait plus que l’effet, ou d’accidents extraordinaires, ou de la destruction de plus en plus lente des forces vitales, et qu’enfin la durée de l’intervalle moyen entre la naissance et cette destruction n’a elle-même aucun terme assignable ? »

Condorcet, Esquisse d’un tableau historique des progrès de l’esprit humain

Augmenter les performances humaines, aiguiser nos sens ou en créer de nouveaux, en finir avec la mort, relier humains et machines, jouer avec les codes du genre… au-delà des performances techniques réelles ou (pour l’instant ?) imaginaires, les transhumanismes se développent comme des récits, plus divers qu’on ne l’imagine, de l’avenir de l’humanité.

Que nous disent-ils de nous, aujourd’hui et demain ?

Rencontre avec :

Franck Damour, historien, Université catholique de Lille, auteur de La tentation transhumaniste
Yann Minh, écrivain de science-fiction, artiste Multimédia, réalisateur de télévision
Hugo Ruggieri, cofondateur de ThinkH+
Olivier Fournout, Institut Interdisciplinaire de l’Innovation, iledenface.com/ »Candide Candide, controverse sur le transhumanisme »

Mercredi 12 septembre 2018 19h15 à 21h00
Amphithéâtre Albert Sorel
27 Rue Saint-Guillaume, Paris, France
Organisé par
Ecole du management et de l'innovation de Sciences Po

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Jeux vidéos & Réalité virtuelle

Publié le 7 Septembre 2018 par Anaïs BERNARD dans festivals

Jeux vidéos & Réalité virtuelle

Le Festival européen du film fantastique de Strasbourg est un rendez-vous majeur du cinéma fantastique en France et constitue, parmi les événements européens, l’un des plus complets du genre. Il met en avant les nouvelles productions internationales du cinéma fantastique tout en faisant la part belle aux thrillers, films et comédies noirs, ainsi qu’aux jeux vidéo et au cinéma en réalité virtuelle. Il propose également de nombreuses rétrospectives de films, témoignant de son attachement profond au patrimoine cinématographique.

La programmation éclectique du Festival de Strasbourg, mêlant cinéma indépendant, cinéma de studios, cinéma d’auteur et cinéma de niche, à laquelle s’ajoutent des manifestations parallèles très diverses, attire chaque année un public nombreux et varié. Venez découvrir ce festival du 14 au 23 septembre 2018.

 

En partenariat avec le Shadok, la section jeux vidéo et réalité virtuelle sera de retour pour proposer aux festivaliers de célébrer les cultures numériques ! 

Au programme : le 6ème Indie Game Contest (compétition internationale de jeux vidéo indépendants), des conférences, une exposition de Yann Minh, notre artiste en résidence, un concert, du retrogaming, une nocturne dédiée au « survival-horror » et une sélection internationale de films en réalité virtuelle.


INDIE GAME CONTEST – Au cœur de la section jeu vidéo et réalité virtuelle du FEFFS, l’Indie Game Contest se propose, pour la 6ème fois, de mettre en lumière la créativité vidéo-ludique dans sa forme la plus pure. Les finalistes de cette compétition internationale de jeux indépendants seront accessibles au public, pendant toute la durée du Festival. Comme chaque année, l’un d’entre eux sera récompensé de l’Octopix décerné par un jury. Il sera composé de : Doc Géraud (youtubeur, ancien game designer pour Ubisoft), Matthieu « Boulapoire » Hurel (sourcier pour Plug in Digital et Playdius, ancien journaliste Gamekult), Sophie « Force Rose » Krupa (journaliste JV le Mag et chroniqueuse pour le podcast ZQSD) et Bounthavy Suvilay (auteure de l’ouvrage IndieGames).


RETROGAMING – Une sélection de jeux rétro, en lien avec la thématique « les femmes dans le cinéma fantastique » de cette 11ème édition du FEFFS, permettra de (re)découvrir les grands personnages féminins de l’histoire du jeu vidéo.

VR FILM CORNER – Attaché depuis plusieurs années à la diffusion d’œuvres en réalité virtuelle, le FEFFS proposera une nouvelle sélection internationale de films en VR. Comme chaque année, ce florilège d’œuvres originales et immersives permettra au public de découvrir l’étendu de la créativité des productions VR dont les modes de narration bouleversent le cinéma traditionnel. Les festivaliers pourront ainsi découvrir ces œuvres en libre accès pendant toute la durée du Festival.

 

Des conférences:

  • Les Mondes virtuels : du MMORPG à la VR – Invités : Yann Minh, Patrick Schmoll – Dimanche 16 septembre 2018, 18 h.

Les mondes virtuels et alternatifs prolifèrent sous des formes toujours plus variées. Du jeu vidéo en ligne à l’émergence de la réalité virtuelle, le cyberespace modifie nos imaginaires et nos identités. Deux explorateurs de ces nouveaux mondes seront présents pour en parler : Yann Minh (artiste numérique et père de la cyberculture en France) sera accompagné de Patrick Schmoll (anthropologue ayant travaillé sur les communautés en ligne).

  • Manga et jeu vidéo : un destin croisé – Invités : Bounthavy Suvilay, Alt236, Rufio – Mercredi 19 septembre 2018, 19h.

Le manga, et par extension l’animation japonaise, ont un destin croisé avec le jeu vidéo. Des adaptations aux reprises de motifs, la sortie en janvier de Dragon Ball FighterZ a réveillé cette petite histoire d’influences. Quels liens unissent ces médiums ? Pour en discuter, trois invités : Rufio (youtubeur et membre du NESblog) Bounthavy Suvilay, et Alt236 (youtubeur passionné de culture pop).

  • Jeux vidéo indépendants : la guerre des consoles ? – Invités : Nicolas Turcev, Thomas Altenburger, Oscar Barda – Vendredi 21 septembre, 19h.

Depuis une dizaine d’années, les gros constructeurs se disputent les petits jeux. Super Meat Boy, Stardew Valley ou encore Undertale trouvent une place sur les consoles de salon pour toucher un nouveau public. Récemment, c’est la Switch de Nintendo qui est devenue le nouveau porte-étendard du jeu indépendant. Pour en témoigner, Nicolas Turcev (journaliste et auteur pour Third Edition) Thomas Altenburger (cofondateur du studio Flying Oak) et Oscar Barda (curateur pour la plate-forme Blacknut et game designer pour Them Games).

 

Des événements: 


VR FILM CORNER – Attaché depuis plusieurs années à la diffusion d’œuvres en réalité virtuelle, le FEFFS proposera une nouvelle sélection internationale de films en VR. Comme chaque année, ce florilège d’œuvres originales et immersives permettra au public de découvrir l’étendu de la créativité des productions VR dont les modes de narration bouleversent le cinéma traditionnel. Les festivaliers pourront ainsi découvrir ces œuvres en libre accès pendant toute la durée du Festival.

CONCERT – Elevn – Samedi 15 septembre, 21h.

Pour inaugurer la section Jeu Vidéo et Réalité Virtuelle, un concert du groupe Elevn réunira les amateurs de synthwave et d’horreur. Avec seulement une basse et un ordinateur, les deux musiciens produisent un son électro saturé, faisant référence au cinéma de genre et aux sonorités vidéoludiques.

Elevn
NOCTURNE – « Survival Horror » – Vendredi 21 septembre, 21h-3h.

L’épouvante s’invite au Shadok pour une nocturne spéciale jeux vidéo d’horreur. Au programme : jeux d’épouvante sur grand écran, jeux d’horreur en réalité virtuelle, cosplays et une ambiance toute particulière.

EXPOSITION ARTISTIQUE – YANN MINH

En collaboration avec le Shadok, le FEFFS accueille cette année Yann Minh, artiste numérique, pour une résidence artistique ainsi qu’une exposition qui lui fera suite. En près de quarante ans de carrière, l’artiste est devenu l’une des figures de proue de la cyberculture française, en traitant du transhumanisme, de nos identités numériques et des canaux d’informations. Il entrera en résidence au Shadok début septembre et exposera ses œuvres pendant toute la durée du Festival.

 

“Cyberpunk’s not dead”, résume en une seule exposition quarante années de nøøpérégrinations dans le cyberespace et la nøøsphère, depuis ma première installation d’art vidéo immersive au centre Georges Pompidou en 1983 qui narrait l’histoire d’une jeune femme prisonnière du monde virtuel d’une simulation informatique, jusqu’à mon hacking immersif du tableau des Ménines et ma découverte de cette porte cyberspatiale secrète et inconnue dissimulée dans les perspectives de la toile ouverte par l’aristøpunk Velasquez.
Et chaque après midi, j’accueillerai les visiteurs dans le salon de mon NøøScaphe immersif, pour leur faire visiter les étranges contrées immatérielles que j’ai découvertes lors de ces quarante années d’explorations au long cours du cyberspace et de la NøøSphère. “

Yann Minh

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Écrans : quels bouleversements du cerveau ?

Publié le 6 Septembre 2018 par Anaïs BERNARD dans conférence

Écrans : quels bouleversements du cerveau ?

Cycle de conférences citoyennes organisé par l'Inserm, Universcience et réalisé en duplex avec nos partenaires régionaux.
Si les progrès des connaissances en science de la vie et de la santé aident à combattre les maladies, ils ont aussi des conséquences éthiques, sociétales et économiques. Chercheurs, médecins, associations en débattent avec le public.

Jeudi 13 septembre 2018 à 19h
Nous confions de plus en plus le soin aux smartphones et ordinateurs d’enregistrer les informations à notre place. Cela ne risque-t-il pas d’affaiblir notre mémoire ? Comment préserver nos facultés mémorielles ?  Quelle influence ont les nouvelles technologies sur l'apprentissage et l'attention de nos enfants ?

 Avec :

Francis Eustache, neuropsychologue, directeur d’unité de recherche Inserm à l’Université de Caen ;
Jean-Gabriel Ganascia, professeur à l’UPMC, chercheur en intelligence artificielle, président du comité d’éthique du CNRS ;
Serge Tisseron, psychiatre, chercheur à l’université Paris Diderot.

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Au péril de l'humain

Publié le 5 Septembre 2018 par Anaïs BERNARD dans ouvrage, Ouvrage

Au péril de l'humain

Fabriquer un être humain supérieur, artificiel, voire immortel, dont les imperfections seraient réparées et les capacités améliorées. Telle est l'ambition du mouvement transhumaniste, qui prévoit le dépassement de l'humanité grâce à la technique et l'avènement prochain d'un " homme augmenté " façonné par les biotechnologies, les nanosciences, la génétique. Avec le risque de voir se développer une sous-humanité de plus en plus dépendante de technologies qui modèleront son corps et son cerveau, ses perceptions et ses relations aux autres. Non pas l'" homme nouveau " des révolutionnaires, mais l'homme-machine du capitalisme.

Bien que le discours officiel, en France, résiste encore à cette idéologie, le projet technoscientifique avance discrètement. Qui impulse ces recherches ? Comment se développent-elles dans les champs médicaux, militaires et sportifs ? Comment les débats démocratiques sont-ils éludés ? Et comment faire face à des évolutions qui ne feront que renforcer les inégalités ? Surtout, quel être humain va naître de ces profondes mutations, de ces expérimentations brutales et hasardeuses sur notre espèce, dont l'Homo sapiens ne sortira pas indemne ?

Jacques Testart, biologiste, est le père scientifique du premier bébé-éprouvette français né en 1982. Il développe une réflexion critique sur les avancées incontrôlées de la science et de la technique dans ses nombreux écrits, dont Faire des enfants demain, Seuil, 2014 et L'Humanitude au pouvoir, Seuil, 2015.

Agnès Rousseaux, journaliste, coordonne le média indépendant Basta ! (www.bastamag.net) suivi par plus d'un million de lecteurs chaque mois. Elle a codirigé Le Livre noir des banques (LLL, 2015).

 

Jacques Testart, Agnes Rousseaux, 2018, Au péril de l'humain, Le Seuil, 272 pages, 21.00 euros.

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Electrum corpus et Avatars, de Christophe Luxereau

Publié le 4 Septembre 2018 par Anaïs BERNARD dans artiste, exposit

Electrum corpus et Avatars, de Christophe Luxereau

Après des études d’art classique en peinture (école des Beaux-Arts) et en architecture (génie civil), Christophe Luxereau se consacre à la photographie à partir de 1986. Il travaille l’image numérique dès 1995 pour développer le thème de la relation à la machine électronique.

Cette relation établit de nouveaux codes, d’autres comportements et de nouvelles icônes. Le photographe est un cinéphile, familier de la cyberculture et des maîtres de science-fiction, base de son univers visuel. Le monde, la mode, qu’il côtoie de façon professionnelle lui inspire des hybridations entre design et haute-couture. 

Son travail porte ainsi une réflexion sur l’idée de la beauté artificielle véhiculée par la publicité cosmétique et de luxe. La pratique du graphisme 2D et 3D accentue la réalité virtuelle de ses créations. Toujours en prospection, chaque série est une étape, une expérience technique et esthétique. 

Electrum Corpus interroge le corps en tant que support, développé et accessoirisé. Prothèses de haute joaillerie, design et précieuse. Notre apparence physique et nos capacités couplées à la machine dans un souci esthétique et fonctionnel. Chirurgie plastique et réparatrice, désacralisation de la chair prête à s'accoupler aux matériaux d'accessoires de mode.Dans cette série, la machine est une extension esthétique et fonctionnelle de la personne. 

L'artiste développe ici une réflexion sur le design et sur la chirurgie plastique biomécanique. Le corps devient une architecture en perpétuelle évolution, le mécanique se substitue à l'organique. Les nouvelles technologies antidotes face à la déchéance du corps et passeport de la réalité.

A travers la série Avatars, les questionnements tournent autour des traits entre temporalité et virtualité. C'est dans des gares ferroviaires, à Paris, New York ou Tokyo que s'opère le changement d'état,celui de notre représentation et de l'image que nous voulons projeter vers les autres. Schizophrénie du quotidien, elle se manifeste de façon exacerbée à travers les nouveaux médias et l'accès au réseau où chacun avance masqué derrière des artefacts. Passer d'un état à un autre implique une métamorphose, l'identité de départ étant inconnue, chacun est libre d'imaginer ses avatars selon sa culture et son parcours fantasmé. Ce double que nous créons, développe une identité idéalisée, propre au réseau.

Electrum corpus et Avatars sont à découvrir au Cube à partir du 3 septembre.

Lieu:
Le Cube
20 cours Saint-Vincent
92130 Issy-les-Moulineaux
01 58 88 3000

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Ephemeral electronics

Publié le 3 Septembre 2018 par Anaïs BERNARD dans exposit

Ephemeral electronics

Ephemeral electronic, de Florian Sumi
à partir du 3 septembre 2018

Réalisée en collaboration avec l’agence de communication DawnMakers, Ephemeral Electronics est une campagne publicitaire d’anticipation. Développée à partir des publications de recherche du laboratoire d’Urbana-Champaign en Illinois (USA), Florian Sumi développe une imagerie destinée à colporter une technologie révolutionnaire : l’électronique biodégradable, biocompatible, à obsolescence programmable.

 

Lieu:
Le Cube
20 cours Saint-Vincent
92130 Issy-les-Moulineaux
01 58 88 3000

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VERTICALES

Publié le 2 Septembre 2018 par Anaïs BERNARD dans installation, artiste

VERTICALES

Artiste contemporain des nouveaux médias, Hugo Verlinde réalise des installations où la projection d’images temps réel s’associe aux formes et aux matériaux de la sculpture. Ses œuvres s’attachent à décrire la vie et le comportement des objets célestes considérés comme des entités.

 

Verticales est une sculpture générative en tuiles émaillées en blanc de jour, et d’une installation numérique de nuit. La projection commence en soirée et s’achève tard dans la nuit. L’œuvre est pensée comme un signal visuel fort. Elle se veut un indicateur de vie et de créativité pour attirer l’attention du public sur ce lieu de culture. Les images sont liées à un programme et se renouvellent en permanence, il s’agit d’une œuvre de durée infinie.

L'installation évoque notre soleil avant qu'il ne soit soleil. Notre étoile a pris naissance au cœur d'une vaste nébuleuse solaire. C’est dans l’effervescence de cette nébuleuse qu’une étoile peut voir le jour. Des millions d'années sont nécessaires à la stabilisation de cette nébuleuse. Au commencement tout est mouvement, agitation, instabilité et réactions nucléaires en série.

L'oeuvre est à découvrir à partir du 3 septembre au Cube.

 

Lieu:
Le Cube
20 cours Saint-Vincent
92130 Issy-les-Moulineaux
01 58 88 3000

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Pixel Noir, de Antoine Schmitt

Publié le 1 Septembre 2018 par Anaïs BERNARD dans artiste, installation

Pixel Noir, de Antoine Schmitt

Artiste plasticien, Antoine Schmitt crée des œuvres sous forme d’objets, d’installations et de situations pour traiter des processus du mouvement et en questionner les problématiques intrinsèques, de nature plastique, philosophique ou sociale. Héritier de l’art cinétique et de l’art cybernétique, nourri de science-fiction métaphysique, il interroge inlassablement les interactions dynamiques entre nature humaine et nature de la réalité. À l’origine ingénieur programmeur en relations homme-machine et en intelligence artificielle, il place maintenant le programme, matériau artistique contemporain et unique par sa qualité active, au cœur de ses créations pour révéler et littéralement manipuler les forces à l’oeuvre. Avec une esthétique précise et minimale, il pose la question du mouvement, de ses causes et de ses formes.

Pixel Noir est une installation visuelle générative. Une forme mouvante constituée d’un essaim de pixels blancs vidéo-projetés habite toute la surface d’un mur blanc, mais montre une attirance compulsive pour un vrai tableau carré noir accroché en son centre, sans jamais toutefois pouvoir y pénétrer : elle s’y frotte, s’y cogne, rebondit, part, revient, etc… La chorégraphie générative qui guide les pixels, construite sur un langage de forces psychologiques et physiques, explore indéfiniment toutes les variantes des dynamiques de relation obsessionnelle entre l’entité en mouvement et le carré noir fixe.

Par le contact des pixels de lumière contre la matière physique et par la référence directe au Carré Noir sur Fond Blanc de Kasimir Melevitch, cette oeuvre articule ma recherche formelle autour de la programmation du mouvement avec une réflexion sur les rapports entre l’art programmé et l’Histoire de l’Art.

 

Cette oeuvre est à découvrir à partir du 3 septembre au Cube.

Lieu:
Le Cube
20 cours Saint-Vincent
92130 Issy-les-Moulineaux
01 58 88 3000

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